𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ⁵²

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Oh fais chier, manquerait plus que lui..


Moi : Takemichou, dépêches toi de défaire les liens. Parlais-je des cordes qui lié mes mains



Il exécuta en tremblant mon ordre sans riposter. Après tous, entre lui et moi, c'était bien moi la plus forte, en combat.



... : Que comptes-tu faire Miyuki ? Penses tu vraiment que tu es apte pour te mesurer à moi ? Souriait-il de toute ses dents



Je sentis enfin mes mains libres et la première chose que j'ai fait à ma liberté était de m'échauffer mes poignets. Ce que ca me faisait du bien, les cordes étaient bien trop serrées. Tellement que j'en ai les marques sur mes poignées.


Moi : Te tuer bien évidemment. Tu es le meurtrier de mon frère et tu mérite de goûter aux belles noirceurs des enfers. Disais-je en esquissant un sourire mauvais




Kazaki Kuma, plus connu sous le nom de La chauve-souris. C'était lui qui avait  tuer Shuji, mon frère et il y a de cela quelques années avant que "j'intègre" le Bonten. Il avait été impliqué encore une fois dans des histoires de gang en cherchant de mes nouvelles et les réelles raison de ma mort, car il n'y croyait pas, le fait que je sois morte, et malencontreusement pour lui, il avait été tuer. Et ça, jamais je ne lui pardonnerai. Jamais. Kazaki méritait la mort et je lui ferait payer. Je vengerais coûte que coûte mon frère. C'était ma seule famille, et il l'avait tuer.

Je me levais enfin de cette chaise en poussant un soupire.



Kazaki : Tu pense vraiment que tu peux me battre ? Souriait-il



Moi : Pourquoi avoir impliquer Hanagaki ? Pointait-je du pouce mon ami




Kazaki : Il était de mon chemin lorsque j'étais venu te kidnapper.








Flashbacks




Il faisait déjà nuit et un jeune homme courait dans les ruelles désertes du quartier considéré comme le plus
dangereux.

On doutait bien qu'ici qu'il y aurait des histoires de criminels et le lieu où on douterait que des gangs ou même des organisations criminelles s'y cacherait. Douter tellement qu'on y avait pas inspecté. Mais ce qui était étonnant c'était qu'il y avait pas tant de personne alors que le quartier briller de mille feux. On y aurait presque dit qu'il y faisait jour avec les bombardements des lumières qui éclairaient les lieux.

Mais cette pensée ne brusquer pas plus le noiraud. Il courait vers cet immeuble dont son ami policier lui avait indiqué il y a une demi-heure.

"Il se pourrait que le Bonten habiterait dans ce quartier. Le bâtiment qui te semblerait le plus grand ou le plus luxueux serait sûrement à eux. Mais après je ne peux rien te promettre, ils sont introuvables tellement qu'ils sont bien cachés et qu'ils bougent tous le temps."

C'était les dires de son ami. Il lui avait bien prévenu de ne pas se faire trop d'espoir et que si jamais il le les trouvera pas, ca ne serait pas plus mal. Se confronter au Bonten était bien trop dangereux.

𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant