𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ⁶⁸

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J'étais coincée entre deux hommes qui brisaient peu à peu la distance qui nous séparer. La panique prenait encore une fois contrôle en moi. Je ne savais pas quoi faire à cet instant même et je n'arrivais plus à réfléchir correctement. J'avais le corp qui tremblée, avec de la sueur qui faisait part également de sa présence. 

On aurait presque dit qu'on était dans les moments stressant des films d'horreur.

Que faire..

Les deux s'étaient finalement approchés, l'un d'eux m'avait fait relever de force en me prenant par le col de ma robe d'hôpital, que je portais encore depuis tous ces évènements passés. C'était le même qui m'avait coincé tout à l'heure. Son regard fatigué depuis sa course de poursuite me fusiller des yeux. Il serrait si fort le tissu que je portais qu'on avait presque l'impression qu'il allait me la déchirer. Mes talons ne touchaient même plus le sol, me faisant remarquer seulement maintenant que j'étais pieds nues. 

Mes cheveux qui étaient légèrement en désordres avec ma frange qui avait depuis le temps pousser, me cacher à la vue de son visage terrifiant. On aurait presque dit qu'il avait des comptes à me rendre.

J'ai comme la malheureuse intuition que cet homme va utiliser la violence contre moi.

... : Toi, je vais te faire payer. Avance avant que je te butes.

Il me lâcha d'un coup, me faisant tomber sur mes genoux. Ma vue commencer à devenir trouble à cause de toute la peur que j'accumulais. Il me fit signe d'avancer au côté opposé auquel je courrais pour m'enfuir, on allait donc retourner à la case départ. Afin de ne pas protester et de tenter une nouvelle fuite, l'homme qui m'avait détenu posa contre ma nuque un objet semblable au métal en vu de son touché et de sa froideur, dont je pouvais deviner qu'il ne pouvait outre que s'agir d'une arme à feu.

Je déglutissais tandis que mon sang se glaçait à la peur d'une nouvelle blessure, qui pouvait cette fois-ci me transporter pour de bon à ma tombe. 

Si ca se trouve, elle est déjà entrain de se creuser vu la situation à laquelle j'suis disposée encore..

Je savais que cette fois-ci je ne pouvais tenter de m'enfuir, à moins qu'un incroyable miracle me vienne en aide en me donnant ne serait-ce qu'une seule ouverture pour que je puisse à nouveau m'enfuir. Mais maintenant que je suis surveiller de près par deux hommes qui me traine dans les couloirs où sont les hommes qui monte la garde, je doute fort de réussir. Sachant qu'un seul faux pas, je me retrouverai à six pieds sous terre.

Etant bouleverser et toujours surprise en vue de cette situation, je n'avais même pas remarqué qu'on était bientôt face à la pièce où j'y passais littéralement mon séjour. Lorsqu'on arriva pour de bon face à mon lieu d'enfer, je sentis un pieds se poser contre l'arrière de mes tibias qui me pousser de force. Je tombais sur l'avant en poussant un gémissement de douleur. Comme si cela n'était pas suffisant, il venait se mettre à ma taille et me prendre par mes cheveux qu'il les tirait de force pour me faire plus rapprocher de lui. 

Je grimaçais à cette souffrance qu'il m'affligeais à nouveau. Le plus douloureux fut encore l'énorme gifle que je m'étais prise sur ma joue par son autre main. Elle était si forte que mes oreilles sifflait avec la vue qui devenait flou et tourbillonnante. Si il m'avait pas tenu par mes cheveux, j'aurais pu probablement me faire projetée jusqu'à l'autre bout de la pièce étant donné que sa force utilisé contre moi était si forte qu'on pouvait presque se demander si il n'avait pas par simple hasard une haine envers moi.