𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ³⁵

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Moi : Mikey..

Il avait le regard vide à cette instant, faisant naissance à un sentiment de tristesse qui s'imprégnait en moi. Son regard se posa sur moi et m'examinait de ses yeux sombres.

Taiju s'approchait vers lui, ayant comme intention de l'anéantir pour prendre un statut encore plus puissant et influençable. Il empoigna toute sa force sur son poing et le fit fonçait tous droit vers Mikey, qui le fit tomber et perdre connaissance. Le rire de victoire du bleuté résonnait. Resonnant comme un écho à mes oreilles. Non.. Impossible. Mikey ne pas perdre comme ça.

Il se relevait, plaçant toujours le même regard dans ses yeux.

Mikey : Je me suis permit de prendre ton coup pour me punir.

En un claquement de doigt on vit tous Taiju à terre. Il ne bougeait plus. Il ne parlait plus. C'est vrai, comment avais-je pu douter. Mikey reste le plus fort d'entre nous tous.

Hakkai : Il l'a eu en un coup.. Disait-il, étonné

Chifuyu : C'était énorme Mikey !! Criait-il en souriant

Yuzuha : Quelle monstre..

Mistuya : Tu nous as bien eu toi. Souriait-il

Mikey : J'ai décidé d'aller rouler avec Baji et mon frère à chaque Noël.

Il sortait de sa veste un collier en nous esquissant un sourire sincère. Lorsque son regard se portait sur moi à nouveau, je lui adressait mon sourire. Puis en un instant, je me sentis tomber.

Je pense avoir quand même assez lutté..

•••

... : Quand arrêteras-tu de me faire inquiéter autant ?

Constatant que je dormais, je me frottais les yeux aussitôt et tenter de me réveiller après m'être souvenu des événements qui se sont produit.

Je me relevais et m'adossais contre le dos de mon lit, encore endormi. Quand je reprenais peu à peu mes esprit, je remarquais Mikey à mon chevet.

Moi : Ah.. Bonjour. Ça va ?

Mikey : C'est à moi que tu me le demandes ?

Moi : Bah oui, pourquoi ?

Mikey : Drogué, blessé par un couteau, pleins d'égratignure aux coups reçus. Quand arrêteras-tu de te faire impliqué dans ces histoires de gang ?

Moi : Ah.. euh.. C'est que..

Pour je ne sais quelle raison, j'affichais un simple sourire nerveux et perdais les pédales. Mais en voyant la tristesse qui se lisait sur le visage à mon petit-ami, j'arrêtais toute suite mes mouvements bêtes et baissais mon visage.