𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚎𝚛 ⁶³

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J'achetais une glace d'un supermarché avec le téléphone à mon oreille. J'étais entrain en appel avec Chifuyu.



Chifuyu : Quoi sérieux ?! Tu vas sauter des classes là avec ton examen ?!



Moi : Ouais, il semblerait. Mais manque de bol, ca sera le 31 août. C'est-à-dire le jour du confrontement. Répondais-je en souriant


Caissier : Ca vous fera 624,7 yens. (Nda : environ 4.50€)



Je tendais la monnaie au caissier qu'il le récupérait en remerciant. Je quittais la supérette en déballant ma glace.




Chifuyu : Et bah, tu risquerais de le rater.




Moi : Non, pas vraiment. Vous allez commencer le combat au moment où je terminerais mon examen. Le seul problème c'est que je pourrais un peu retarder parce que je n'ai pas de moto contrairement à vous. Expliquais-je en soupirant



Chifuyu : T'es riche maintenant, tu peux en acheter un. Même le plus chère si tel est ton souhait. Me disait-il en rigolant



Moi : C'est ca, ouais. Je vais pas abuser de l'argent non plus. Disais-je en levant les yeux au ciel Bref, tu previendras les autres de mon retard, ca sera gentil de ta part.


Chifuyu : Oui m'dame, pas de problème.


Moi : Merci Fuyu, je te laisse! Disais-je avant de raccrocher



Alors que je dégustais ma glace, une bande de brute venait à ma rencontre. Leur regard qui se posait sur moi était plutôt déplacé et malsaine.

Je les dévisageais du regard en fronçant mes sourcils et les détourner. Je ne voulais pas causer ni avoir un quelconque problème, mais cette bande d'idiot en avait décidé autrement en me prenant ma capuche.



... : Où vas-tu comme ca petite ? Me demandait-il avec un sourire pervert


Moi : Ca ne te regarde pas à ce que je sache.



... : Ca te dit de faire un tour avec nous ?



Moi : Non, car comme tu peux le voir je suis occupé à déguster ma bonne glace.




... : Ohh alleer, je te ferais une bien meilleure dégustation. Me proposait-il avec un rire malsain





Ce garçon en question ainsi que ses quatres autres amis rigolaient. Je les dévisageais tous un par un.Décidément, même manger dehors on ne pouvait pas le faire tranquillement.

Je poussais un long soupire avant de jeter un regard noir sur la personne qui me tenait encore par la capucue.



Moi : Lâche moi.




Je ne lui laissais même pas le temps de repliquer que je lui donnais un gros coup de pied sur sa partie intime pour qu'il me relâchait. Par réflexe, il mit des mains sur son entre jambe et gémissait de douleur. Je continuais à manger tranquillement ma glace et à les regarder paniquer. Les amis du pervert ressentait la douleur et grimacaient.



𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant