𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚛𝚎 ²²

1.1K 59 9
                                    

• ────── ✾ ────── •





Moi : Chifu' passe le ketchup qui est à côté de toi.


Chifuyu : Ouaip, attends.

Il me passe le ketchup, comme demander. Je l'ouvre alors et secoue avant d'en mettre sur mon assiette. Ne voyant toujours pas une trace rouge, je fronce mes sourcils et regarde le trou. Je plisse mes yeux et re secoue fortement et y appuie, sauf que, erreur, je n'aurai pas dû. Quasiment tous le contenu du ketchup s'est retrouvé sur la tête de la personne la plus redouté qui est à ma gauche. Devinez qui c'est ? Bingo, c'est Draken.

Le voyant toujours stoïque à ne pas bouger, je glousse. Il finit par passer sa main sur son visage, enlevant le ketchup, toujours calme. Cette histoire va mal se finir.

Draken : Miyuki ?


Moi : O-Oui.. ?


Draken : Cours.

Je me lève de ma chaise et cours à toute vitesse. Ca va faire cinq minutes que je cours à en cracher le souffle de mes poumons et a supplié Draken de me laisser en vie.

Moi : Je t'en supplie Kennou ! Je suis bien trop jeune pour mourir ! Je veux voir à quoi ressemblerai ma vie plus tard et si j'aurai des gosses !

Draken : Qu'est-ce tu m'dis ? J'en ai rien à carrer de ce que tu me sors !

Moi : Qui sera la marraine de tes gosses quand tu te mariera avec Emma ? Et aussi elle a besoin d'une dame d'honneur, pense au futur de ta bien aim-

Draken : Tu cherches trop ta tombe toi.


Il redouble sa vitesse me faisant paniqué. J'en fais de même et cours plus vite. Une pierre énorme pierre se trouvait devant moi, possédant une magnifique qualité de vue, je me le prends et fait une belle chute splendide regorger de délicatesse et de classe.

Je roule comme une patate à la descente de la petite montée. Je me retrouve à heurté ma pauvre tête au tronc d'arbre. Je ne bougeais plus.

Draken : MIYUKI ! CA VA ?!

Je ne bougeais toujours pas, bien trop focalisé à ma douleur sur ma tête et ma cheville. Lorsque je vois la tête de la perche au-dessus de moi, j'ai pas pu retenir mon fou rire à sa tronche inquiète, le faisant me regarder, désespérément.

Draken : Bref, on y retourne. A cause de toi ma brochette à dû refroidir.

Je me lève et ressens soudainement une énorme douleur au niveau de ma cheville, me faisant soudainement écarquiller des yeux à la douleur inattendue et pousse un énorme crie.





°°°






Les pauvres oiseaux qui étaient posés tranquillement sur les branches d'arbres, ils se sont tous enfuis au bruits stridents de ma voix aigüe.

𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant