𝐼 𝑗𝑢𝑠𝑡 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚝𝚛𝚎 ²¹

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On reprend les cours et je n'ai pas du tout envi. Dès le matin je me fais sermonné par ma très chère meilleure amie qui me dit qu'il faut que je me réveille. En plus y a même pas la totalité de tous mes amis. Même Ayako n'est pas dans ce collège.

Moi : Fais chier, je m'ennuiiiiiie. Me roulais-je contre le mur du fond de la cour

... : Qu'est-ce que tu fais là ?

Je sursaute et devisage la personne qui se tient devant moi.

Moi : Oh non pas toi, dégage Kisaki.

Kisaki : Tss, si je suis venu c'est pas pour que tu me dégage.

Moi : Ouais mais je t'aime pas, avec tes fichus notes qui m'enlève la 1er classe, tss.. C'est pas possible. Laisse les gens tenter leur chance bordel ! Non ?

Kisaki : Donc tu me détestes pour être le 1er du collège ?

Moi : Bah ouais, pourquoi d'autre ?

Kisaki : Pour rien. J'ai une proposition et enchange je te laisserai la 1er place.

Moi : Sérieux !? M'approchais-je, les étoiles dans les yeux

Kisaki : Tu devrais collab-

... : Non.

On se tourne tous les deux vers cette personne. Une belle fille aux cheveux teinté de blond et de moitié bruns apparaît.

Moi : Ayako ? T'as pas cours toi ?

Ayako : Si, mais mon mauvais pressentiment m'a emmené ici. J'avais donc raison. Dévisageait-elle du regard Kisaki N'écoute rien de ce que dit cet enfoiré Miyu' ce type n'est pas fiable. Si tu veux être la 1er du collège faut que tu l'obtienne par la loyal et non marché contre ce connard. Allez viens. Me tirait-elle

Moi : HEINN !? MAIS C'EST L'OCCASION POUR QUE JE SOIS ÉLU PREMIERS AYAKO! LAISSE MOI TIRER CETTE CHANCE. Me débattais-je

Ayako : Miyuki, es-tu au courant de ce que ce type est capable de faire ?

Moi : De quoi tu me parle Ayakou ?

Ayako : Je vois que tu es pas au courant visiblement. C'est un psychopathe ce mec.

Moi : Ah ca, je sais !

... : MIYUKIIII !!!!

On se tourne et nous voyons Takemichi courir vers nous,tout essoufflé. Il se prend une pierre et se gamelle par terre, me faisant éclater de rire.

Moi : Takemichi ! T'aurai dû voir ta tête ! Tu t'es écrasé comme une merde. Disais-je, plié en deux essuyant mes larmes de rire