Chapitre 7

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Il me regarde comme si il n'en avait rien a faire. Ca m'énerve encore plus sachant que Jean est complètement perdu et triste. Il prend alors la parole avec la voie tremblante.


-Chez ses parents...

-Pardon?

-Elle est allé chez ses parents. Je vais allé la chercher, je serais de retour d'ici trois jour peut être demain soir si je me dépêche.

-Jean tu es sur?

-Ses parents vont me tuer mais oui je vais y aller, après tout je me dois de veiller sur elle.


Il part alors en vitesse pour pouvoir allé chercher sa fiancée. Je demande a Arlet d'aller prévenir les autres alors que je me retourne vers Livai.

Il semble toujours n'en avoir rien a foutre. Je m'approche alors de son bureau pour taper de toute mes force dessus avec mes mains.


-Oi tu fous quoi la?!

-T'as merdé livai, t'es vraiment con ma parole! Pourquoi t'as fais ça ? T'as jamais rabaissé un soldat n'importe qui soit -il de cette manière! Explique toi merde!

-Arrête d'hurler comme ça la binoclarde. J'ai fais mon travail de caporal rien de plus.

-Mais tu te fous de ma gueule! T'as juste passé tes nerf sur une pauvre fille qui fait de son mieux comme tout le monde.

-C'est pas ma faute si elle avait rien a foutre ici!


Nous n'avons ni l'un ni l'autre entendu Erwin entrer a cause de mes cris et du fait que nous soyons concentré l'un sur l'autre mais de la façon ou je le regarde avec de la haine et lui de manière totalement neutre ce qui m'énerve encore plus.


-Que se passe t-il ici?

-Rien du tout, fais la sortir d'ici!

-Rien du tout? Vois tu Erwin, ton si chère caporal a passé ses nerf sur une jeune soldate de manière absolument horrible, alors qu'elle n'avait très probablement rien fait de mal, et de ce fait elle a pris ses affaire ET ELLE EST PARTIS!

-Pardon? Livai ne me dis pas que c'est vrai!

-J'ai juste dis la vérité, donc si vous voulez bien me laisser finir mes papier et sortir de mon bureau.

-T'es vraiment pitoyable Livai! Erwin dis lui quelque chose car il ne m'écoute pas moi!


Je sors pour allé voir si les autres petits jeunes vont bien. Ils ne méritent vraiment pas une humiliation pareil. Surtout la jeune Tp.


~Point de vue Tp~

Je rentre donc dans la maison ou je trouve mon père et ma mère a table pour le repas. Il s tournent directement la tête vers la porte ou je suis, toujours en tenu de soldat du Bataillon et avec mes bagage qui sont deux gros sac.

Ma mère se lève rapidement, suivit de près par mon père, pour se précipité de venir me voir. Je les vois surpris alors que moi j'ai seulement envie de finir en larme que j'essaye de retenir depuis que j'ai quitté ma chambre.


-Tp? Mais que fais tu ici?

-Mère...Je...

-Dis moi tout Tp, Je suis la.


Je ne peux me retenir de plus longtemps et m'effondre en larme dans les bras de mon père qui me retient de tomber.

En effet mes jambe ont cédées sous mon poids et sur le coup de la fatigue. La colère et la tristesse n'arrangent en rien mon état.


Pour toujours ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant