Chapitre 11

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Le lendemain matin, les rayons lumineux du soleil me réveille. Doucement j'ouvre les yeux pour me retrouver sur un torse. A ce moment je ne me rappelle plus d'hier soir mais les souvenir réapparaissent rapidement. C'est la que je sais que le caporal est le propriétaire de ce torse.


-Tu es réveillé ?

-Oui, je viens de me réveiller a peine

-Bien, ça va ?

-Oui ne vous en faites pas caporal, merci d'etre resté avec moi cette nuit

-Tch , ça doit pas sortir d'ici, c'est claire?

-Bien sur.


Le week-end arriva rapidement et durant les quelques jour qui le séparait de ma nuit avec le caporal, j'ai été incapable de le regarder de nouveau dans les yeux. Bien sur, il a tenter de me demander la raison mais je lui est dit des choses telles que "vous vous faites des idées" ou encore "je n'y fait pas vraiment attention mais excusez moi". Même si je sais parfaitement qu'il n'y croit pas, je n'es pas d'autre choix.

Comment avouer qu'un autre homme que mon promis me fait rougir et en plus que j'ai passé la nuit avec, que ce sois a Jean, a mes parents ou même juste a moi même en fait.

Mais je dois chasser ces pensé mauvaises de mon esprit car la je suis en route pour chez mes parents. Nous allons finaliser les achat et les préparatifs du mariage.

Avec Jean, c'est tendu mais nous nous sommes mis d'accord pour faire comme si de rien était devant nos parents afin de ne pas les alarmer.

Une fois arrivé nous partons directement pour le couturier afin de faire ma robe de marier. Je suis accompagnée de ma mère bien sur, mais aussi de la sienne. Je ne sais pourquoi mais cette idée ne me réjouis plus autant qu'avant. Enfaite, l'histoire du mariage et lui même ne me réjouis plus tellement. Peut être que le caporal en est la raison.

Bref, une fois mes mesures prise, je dois essayer plusieurs modèle pour trouver celui qui me plaira le plus. La première robe est en sirène. La deuxième fait très bouffant, une autre a des manches courte et une nouvelle est plaine de dentelle et dévoile mes formes. Bien qu'elles plaisent toutes a mes accompagnatrices, a moi pas du tout.


-Tu es bien difficile Tp!

-Pardonne moi mère, mais je ne trouve pas qu'une en particulier sois spéciale.

-Oh tu sais, je comprend ta fille, il faut un coup de cœur.


De nouveau, tout type de robe m'est proposé mais rien. Ma mère propose alors un autre couturier. Seulement en passant la porte de celui-ci, nous nous trouvons face a face avec le major Erwin, le major Hansi et le caporal chef Livai.

Bien que je tente de me contrôler, je sens mes joues me bruler et tente malgré tout de rester calme en prétendant avoir chaud.


-Major Erwin

-Madame Tn, quelle plaisir de vous voir!

-Le plaisir est partagé. Je ne pensais pas vous trouver ici.

-Hihi, Erwin a besoin d'un costume alors on l'a accompagné

-Tch

-Mademoiselle Tn?

-J'arrive.


Je quitte ma mère et mes supérieur pour de nouveau prendre mes mesures.

Bien que la petite pièce soit isolé, j'entend la conversation qu'ils peuvent avoir. Madame Kirshtein elle, est aller rejoindre Jean pour son costume comme prévu.


Pour toujours ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant