Chapitre 18

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Comme le bataillon ainsi que les autres corps d'armé ont été invité par mon père, il a été longtemps assistant de Darius Zacley mais suite au mariage avec ma mère il a repris l'entrepris familiale tout en gardant contact avec ses anciens amis.

Bref, les quatre filles font partis de mes demoiselles d'honneur, les deux autres sont des amis nobles proche a moi.


-J'ai tellement hâte de revoir Jean.

-Je sais Lucie tu me l'as dit dans ta lettre hier.

-Tu as l'air bien fatigué Tp, dis moi, as-tu seulement dormis cette nuit?

-Bien sur, mais tu sais ce que fait le stress pas vrai.

-Tu ne devrais pas, c'est un jour de fête!

-Oui tu as raison.


Ben sur que je n'avais pas dormis de la nuit puisque je l'ai passé avec Livai. Il voulait absolument qu'on passe un dernier moment ensemble. Nous avons coucher ensemble mais aussi parler et profité l'un de l'autre.

Des bruit de gravier, signifiant que nous sommes arrivé, me sortent de mes pensées. Moi et mes demoiselle d'honneur devons nous préparer a la maison avec ma mère et Jean fait de même de son côté.

En entrant mes amis sont éblouis par le petit manoir qui est ma maison, nous allons directement dans ma chambre ou ma mère et mes deux autres amis m'attendent.


-Te voila ma chérie

-Bonjour mère, Camille, Jade.

-Tp, te voila enfin!


Jade et Camille se jettent sur moi. C'est vrai que ça fait longtemps que je ne les ai pas vu.

Une fois les retrouvailles faite nous faisons les présentations puis nous nous préparons. Elles en première bien sur.

Elles sont toutes splendide, aux couleurs crème et corail, comme les fleur et la décoration que Jean a choisi. Je ne vais pas me plaindre, je trouve ça plutôt jolie en plus. Il a de bon gout.

A ce moment je ne peux m'empêcher de m'imaginer comment aurait été mon mariage si ce serait avec Livai.

Il aurait surement choisi des couleur sobre et simple mais jolie car il a un gout plutôt simpliste. Il y aurait tout autant de monde. Quoique je ne sais pas si il a autant de famille que Jean. On en a jamais vraiment parlé et honnêtement c'est lui qui m'intéresse pas sa famille.

Je suis rapidement ramené a moi quand les filles commence a me faire enfiler ma robe. La couturière vient d'arriver pour les dernière retouche.


-Tu es vraiment sublime

-Merci Jade

-Il a de la chance l'autre tête de cheval


Moi et Mikasa rigolons puisque nous sommes les seules a comprendre. Rapidement mon père arrive pour venir nous chercher. Quand il entre dans la pièce je peux le voir se stopper et une larme couler sur sa joue. Cette scène me donne les larmes aux yeux.


-Tp tu es vraiment.... Sublime

-Je vous remercie père. Ce costume vous va très bien aussi, c'est vous qui l'avez choisi mère?

-Oui mais tu es bien la fille de ton père !

-Et pourquoi cela?

-Oui moi aussi je veux savoir!

-Nous avons fait trois couturier diffèrent avant qu'il ne trouve son bonheur

-Ce que ta mère ne comprend pas Tp c'est que ce genre de chose se fait au coup de cœur pas vrai ma fille.

-Si père je suite parfaitement d'accord avec vous.


Nous rigolons tous ensemble quand vient l'heure d'y aller. Ma mère a ma droite, mon père a ma gauche et trois de mes demoiselles d'honneur devant et trois derrière, nous partons pour rejoindre le terrain qui n'est autre que notre cour.

Il faut dire que nous avons assez grand de court et qu'elle est faite d'herbe donc c'est bien pour un mariage. Et puis je ne vais pas me plaindre puisque au moins nous le faisons dehors et pas dans l'église.

La musique se lance puis nous commençons cette marche jusqu'à mon future mari.

Je n'es qu'une envie tout arrêté et partir avec Livai. Mais c'est déjà trop tard, je ne peux pas faire cela a mes parents, je sais que lui aussi en a envie mais il sait aussi faire la part des choses.

Nous arrivons dans la dernière ligne droite c'est la que je vois Jean. Il me sourit même si je sais que c'est forcé, un peut comme le mien.

Puis j'aperçoit Livai, les yeux triste, une larme coule sur sa joue et sur la mienne mais mon père me l'efface très vite croyant a une larme de joie. Si seulement. Je tourne le regard pour ne plus, ou du moins essayer, être triste.

Une fois arrivé, mon père tend ma main a Jean.


-Prends soins d'elle pour nous s'il te plait

-Bien sur monsieur Tn

-Tu es un bon garçon Jean

-Merci....


Mon père embrasse mon front et me sourit avec beaucoup de tendresse puis par s'assoir avec ma mère et les dames d'honneur.


-Je vais tout arranger, j'ai eu une idée Tp


Je le regarde avec de gros yeux après qu'il m'est chuchoté cela.

Quand le prêtre arrive a une certaine partie, il exerce une pression plus forte sur mes mains.

J'entends la fameuse phrase ou au fond de moi, j'aimerais que Livai dise qu'il est contre mais je sais que ça n'arrivera pas.


-Si quelqu'un est contre ce mariage, qu'il parle maintenant ou se taise a jamais.

Pour toujours ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant