𝐑𝐞𝐜𝐞𝐮𝐢𝐥 𝐝'𝐎𝐒 𝐒𝐚𝐤𝐮𝐫𝐚 𝐱 𝐒𝐚𝐬𝐮𝐤𝐞 | Sasusaku

Dispute

Contexte : Épisode 170 Boruto. Sakura est inquiète pour Sarada concernant son entraînement avec Sasuke. Elle va manger avec Ino et Hinata, et rentre après en avoir parlé avec elle.

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Sakura ouvrit la porte de sa maison et la ferma.

Elle retira ses chaussures et alla dans sa chambre. Là où Sasuke était allongé, endormi même.

C'est pas comme si elle s'attendait à quelque chose de toute façon.

Ça l'embêtait d'être en froid avec lui un moment où il était à Konoha.

Elle se changea, mais Sasuke alluma la lumière. Elle eut un cris de surprise en se cachant instinctivement.

- Tu étais où ?

- Parce que je ne peux pas sortir ? J'étais avec Hinata et Ino.

- Tu est encore énervée ?

- Je suis pas énervée. Râla Sakura. Je suis morte d'inquiétude pour ma fille !

Elle finissa de se changer avant de s'installer dans le lit, un peu à contre cœur.

- Je suis désolée. Je ne doute pas de toi.  Expliqua Sakura.

- Je ne veux pas qu'elle éveille ces pupilles. Je te l'ai toujours dit. Lança Sasuke. Je suis aussi inquiet pour elle tu sais, ça n'est pas parce que je ne le montre pas que je ne le suis pas.

- Pardon, j'ai été égoïste...

- Réponds moi franchement : Est-ce que parfois tu regrettes ?

- Regretter de ?

- D'être avec moi alors que je suis peu présent, d'avoir eu un enfant avec moi, à cause du clan et des sharingans et...

Sakura posa un doigt sur ses lèvres et s'assit sur lui avant le l'embrasser.

Il se laissa porter par ce baiser et ferma les yeux.

- Imbécile. Râla sa femme. Non seulement je ne regrette absolument aucun de mes choix et surtout, avoir un enfant avec toi. Ça prouve que Sarada est bien ta fille autant que la mienne ? Je suis inquiète, comme je le suis pour toi à chaque fois que tu pars en mission, comme quand je vois du sang couler de tes yeux. Je t'aime, et j'aime Sarada.

- Désolé, c'est moi qui ai été égoïste. On est quitte.

Il eut un petit sourire avant de serrer Sakura contre elle.

- Tu veux gérer l'entraînement demain ? Tu sais, tu vois des choses que je ne vois pas.

- Je peux intervenir, parce que je sais ce qui manque cruellement a ta fille.

Il eut un autre sourire.

Incident réparé et oublié, ils s'endormirent enlacés.