Chapitre 40 Stella

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Mourir ou aimer ? Est-ce un choix que tout le monde a eu à faire ? Ou seulement les âmes avant étaient blessées par un cœur fragile, car ce n'est qu'une fois que l'amour nous est tombé dessus que l'on peut comprendre ces quelques mots :

Aimer est sûrement la plus grande douleur au monde, l'amour fait mal, dans tous les cas, alors une fois qu'on a goûté à l'eau de la rivière, on veut l'eau de la mer, mais on se rend compte trop tard que ce n'est qu'un mirage parmi le désert.

***

Est-ce que je devais dire que cela me surprenait ? Car ce n'étaient pas les cas, je pense qu'on ne devait pas s'attendre à mieux venant de ce genre d'hommes, mais je ne voyais pas en quoi cela avait un rapport avec moi, Riley et April pensaient visiblement que H avait changé de comportement car quelque chose s'était produit chez Stella, mais quoi ?

J'avais raccroché avec les filles depuis un bon moment je n'arrêter pas de me demander en quoi j'étais mêlé à ça, j'étais rempli de curiosité depuis l'enfance et ces histoires ne m'aidait pas, mais je ne voulais pas me mêler de ces affaires de sexe qui ne m'intéresse pas du tout.

Cette nuit-là j'avais très mal dormi, je n'avais pas de raison particulière mais le sommeil m'était venu avec difficulté, alors pour la première fois je me suis levée très tôt et me suis dirigé dans la cuisine, j'avais mon petit déjeuner préféré : cela consisté à faire des tartiner, étaler du beurre dessus et saupoudrer le tout de cacao en poudre, accompagné d'un verre de lait mélangé à de la grenadine. Stella m'avait étrangement regardé mais quand je lui ai fait gouter elle a trouvé ça délicieux, et depuis ce jour-là elle fait toujours attention à ce qu'il y ai de quoi préparer mon déjeuner.

Je lui est parlais du fait que cela me dérange de vivre ici, est d'être nourri et loger sans n'avoir rien fait, mais Stella ma rassuré en disant que je ne faisais pas rien puisque même si H avait menti je réaliser les soins de sa mère, et puis la femme m'a expliqué qu'elle était très heureuse d'avoir de la compagnie.

J'ai pris mon déjeuner et j'ai rejoint Stella sur le canapé, elle avait à mon plus grand étonnement allumé la télévision sur les dessin animé que je lui avais montré, elle m'a montré ce qu'elle a aimé et j'en ai fait de même avec elle.

Stella a baissé le son de la télévision et avait l'air de beaucoup réfléchir, elle s'est légèrement tournée vers moi et a commencé.

-June, mon enfant, j'aimerais te parler si tu le veux bien.

Je l'ai regardé sans comprendre mais me suis empressé de répondre :

-Oui bien sûr Stella, je vous écoute.

-Ma fille je pense qu'il est temps que tu entendes parler de mon histoire, tu vis avec moi et je t'apprécie beaucoup, j'ai envie de t'en parler et puis tu es devenu proche de mes fils.

Stella a envie de me parler d'elle et je l'écouterai attentivement, je suis bien conscient que des micros-bouts que j'ai pu voir, cela a était compliqué, alors je me suis tue et j'ai écouté attentivement.

-Je ne suis pas née en Italie, loin de la même, je suis née au état unis dans l'état de l'Ohio, nous venions d'une famille très modeste et je m'entendais très bien avec toute ma famille, je suis fille unique alors j'ai toujours eu l'attention complète de mes parent, c'est peut-être difficile à imaginer mais ils tenaient un ranch, avec des animaux mais j'aimais vraiment vivre la bas, j'ai toujours eu la passion des plantes et mon papa avant moi, puis un jour j'ai quitté la maison pour faire des étude d'architecture, je voulais créer des maison avec toujours beaucoup de plantes, quelque chose de naturelle c'était mon rêve...

Stella m'a pris les mains et j'ai vu ses yeux briller de larmes, cette vie lui manquait c'était indéniable.

-Je suis parti faire mes études très loin de chez moi et puis comme tous les étudiant je sortais le soir, mais je ne m'attendais jamais à trouver le père de mes enfant et celui qui allait briser nos vie en même temps...

Les Lois Contraires T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant