Il était une fois....||Camilo x oc||

19 : tout reviens à la normale

Aujourd'hui, dès mon réveil, je suis de bonne humeur. Je le jure, c'est vrai ! En à peine 5min je suis déjà habillé et en train de déambuler dans le village. Aujourd'hui, je vais chez les Madrigal, j'ai été invité à venir passer la journée et dîner. Je dois y être dans une heure, mais avant cela je veux absolument acheter quelque chose à offrir à Pepa et à Abuela, car ce sont elles qui m'ont invité. J'entra dans une chocolaterie et en ressorti avec deux boîtes de chocolat. Direction la Casita maintenant !

Arrivée devant cette dernière, je toque et abuela vint m'ouvrir. Je lui offris donc les chocolats et avec un grand sourire elle me remercia. Je croisa ensuite Pepa, accompagnée de Dolores. Quand j'offris les chocolats à la rousse, un arc en ciel apparue au dessus de sa tête

- tu es vraiment un ange, mon petit Camilo a trouvé la perle rare !

Je la remercia suite à ses compliments, ne sachant vraiment comment réagir. Je n'ai pas l'habitude ! Et elle m'intimide quand-même vachement, on parle quand même de Pepa Madrigal, qui  plus est la mère de mon copain ! Je tourne ensuite la tête vers Dolores et lui demande où est le brun

- je l'entends, il est dans la cuisine !

Je la remercie et me dirige en direction de l'endroit indiqué, et je franchis la porte.

- Ne parlons pas de Bruno no no no...

Il était en train de... Chantonner en cherchant quelque chose dans un placard trop haut pour lui. Il est donc sur une chaise, sur la pointe des pieds

- heum, pourquoi on ne devrait pas parler de ton oncle?

Il sursauta, poussa un cris en tombant sur le sol. Il avait la tête de Bruno avec mon corps. Je ne vous raconte pas le fou rire qui s'empara de moi avec cette image de Bruno en robe rose devant moi! Camilo repris sa forme normale

- ne te mets pas à faire comme Dolores ! Vous faites froid dans le dos à être si discrète...

Il se remet debout alors que je n'arrête pas de rire

- oui bah c'est bon hein... J'aurais du me changer en José, j'aurais pu choper ces saleté de gâteaux...

Il était un peu rouge, gêné, puis voyant que mon rire reprenait de plus belle, il m'embrassa, me faisant vite taire

- Holà Senorita, moi aussi je t'aime !

- t'es pas croyable !

- tu m'as toujours pas dit bonjour !

- Rooooh c'est bon...

Je passe mes bras sous son poncho et le serré contre moi, en lui lâchant mon plus beau "holà". Avec un petit sourire, il me serre en retour, puis me traîne dans sa chambre. Mais sur le chemin, on croise Félix, son père. Il nous tapa la causette, pour finalement faire un clin d'œil à son fils

- pas de bêtises les djeun's !

Je ne sais pas si c'était un sous entendu, mais vu les joues rougis de Camilo, je pense que si ... Ou alors notre esprit est tordu, tout simplement !

On entra finalement dans sa chambre. Ce n'est que la troisième fois que j'y entre, mais malgré le fait qu'elle soit changeante, elle est si chaleureuse ces derniers temps que je pourrais y passer ma vie, et je rigole pas!

Seul un endroit me paraît bizarre. C'est cet endroit à part, avec le l'album photo et les grands miroirs...

Peu importe ! Je regarde Camilo, qui lui me regardait déjà. Non, il me fixait pour être précis !