VALENTINES IS NOW !

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--Lundi - 07H du matin--

Mathéo - « Alors ? »

ChezMoi - « Nous allons essayer d'atteindre la perfection pour vous Mr Méres. »

Mathéo - « Merci beaucoup, Mlle Kam. »

ChezMoi - « Le merci vous revient. À plus tard. »


— Avec qui tu parles ?

La petite voix d'Elvira retentit juste derrière lui. Il se tourna et vit sa petite amie moitié endormie, couverte avec le plaid.

— Une affaire urgente à régler. Dit-il en raccrochant le téléphone et le déposant sur la table.

— Depuis quand est-ce que tu me laisses toute seule de si bon matin, à cause d'un coup de fil. Se plaignit-elle indirectement.

Elle passa devant lui, et se saisit de sa tasse de thé pour en faire. Les sourcils de Mathéo se froncèrent automatiquement en remarquant ce qu'elle était prête à faire.

— Tu fais quoi avec cette tasse ? Répliqua-t-il en saisissant son bras.

— Bah ? Je fais mon thé ? Répondit-elle d'un ton faussement étonné, en haussant les épaules.

Il lui prit la tasse des mains en soupirant, et la réprimanda d'un simple regard, mais elle réussissait maintenant à soutenir ce regard qui l'intimidait tant. Les choses anciennes étaient passées.

— Je t'ai déjà dit que tu n'en as pas besoin, surtout quand je suis là.

— Eh bien tu m'as laissé seule ce matin ! Rétorqua-t-elle en lui arrachant la tasse des mains. Alors je considère que tu n'es pas là !

Il l'observa froncer les sourcils et bouder, il ne put s'empêcher de rire devant la croissance de sa petite-amie. Elle lui tenait tête maintenant, et c'était loin de lui déplaire.

— Oh j'y crois pas ! Mlle Money ?

— Mais en quoi mon thé te dérange ? Dit-elle en allumant le chauffe-eau. Fais tes travaux, et laisse-moi boire mon thé non ? Il n'y a pas à être jaloux d'un thé, Mr Méres.

Il lui sourit et s'approcha d'elle par-derrière, ses bras s'enroulèrent lentement autour de sa taille et il la sentit se crisper. Ses lèvres s'étirèrent, juste le fait de savoir qu'il ne la laissait pas indifférente le rassura.

— Laisse-moi être ton thé ce matin...Susurra-t-il dans ses oreilles, en la faisant danser lentement.

— Quelle phrase pourrie non, mais ! Se moqua-t-elle en se détachant de lui. C'est comme ça que tu veux m'avoir ? Alors bonne chance !

E L L E SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant