PS : Prenez un paquet de mouchoirs, et posez vous bien. Ame sensible, se retenir, mais lire quand même !
Bonne lecture, je vous aime 💖
— Je ne suis pas ton jouet. Si je franchis cette porte, tu ne me verras plus, ou du moins, on ne restera qu'ami. Chacun fera ce qu'il aura envie de faire, aucune distance n'existera parce qu'on ne sera plus jamais à proximité.
« Mathéo : Je suis fatigué, je crois que j'ai tout tenté. Peut-être qu'elle n'a vraiment plus envie d'être avec moi, et que c'est moi qui force ? Être doux, ça ne sert à rien finalement. »
Et c'était ce dilemme qu'elle espérer ne jamais être confrontée, son égo s'en alla aussi rapidement qu'il était venu.
Il poussa un soupir en fermant les yeux, et lui tourna dos pour sortir lorsqu'elle accrocha fermement son bras en baissant les yeux. Elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas le laisser partir.
— Restes s'il te plait.
— Je ne resterai pas. J'y v-
— Non tu ne comprends pas... Souffla-t-elle faiblement en maintenant ses mains sur son bras. Ce que je veux dire...
Elle se mordit la joue en réfléchissant, devait-elle le dire ou pas ? Mais elle sentait Mathéo s'éloigner de plus en plus. Ses yeux jonglaient entre lui et la cuisine, l'envie d'un bon thé dans sa gorge la prit.
— Je... Je peux aller prendre ma tasse de thé s'il te plait ?
— Non. Fit-il d'une voix autoritaire, sans se dégager de sa main sur lui. Je suis là, je t'écoute.
Elle passa une main dans ses cheveux, et lui donna dos.
— Je... Je suis désolé pour ce soir... Je ne voulais pas te faire du mal en parlant et dansant avec cet Homme, je ne sais même pas ce qui m'a pris et-
— Sincèrement dit, je m'en fous. Ce n'est pas ça le plus important, si c'est tout ce que tu as à me dire, je pars.
Et il était très sérieux, cette situation pesait sur lui et il essayait de comprendre pourquoi il était encore là, près d'elle et s'interdisant de la laisser tomber, de s'éloigner d'elle.
Il adorait sa présence, et tout ce qu'elle dégageait.
Sauf son comportement souvent agaçant.
— On arrête. Dit-elle en reposant sa main sur son bras.
Le regard froncé de Mathéo glissa de la main d'Elvira sur lui, jusqu'à ses yeux qui s'invitaient dans les siens. Elle était sincère.
— Je veux dire, on arrête cette distance, c'est bon c'est fini. Déclara-t-elle, sûre d'elle. Je n'y arrive pas, je ne peux pas te voir avec d'autres filles. Je ne peux pas t-, je n'ai pas envie d'être blessé.
VOUS LISEZ
E L L E S
Romance- 𝗟𝗲𝘀 𝗿è𝗴𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 é𝘁𝗮𝗯𝗹𝗶𝗲𝘀 ! 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗱'𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱. 𝗟𝗲𝘀 𝗳𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀... 𝗣𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗱é𝗿𝗼𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀'𝗶𝗹 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗹𝗮î𝘁. 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗿𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗶𝗲...