10-Vacances de Noël

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Attention. Ce chapitre fait 10 015 mots. J'avais promis que "Vie sur Terre de Sir Pentious" serait le chapitre le plus long. Ben finalement c'est raté. Désolée.

Mais rassurez-vous; il y a beaucoup de dialogues. N'hésitez pas à le lire en plusieurs fois. Je dois vous avouer que je le publie avec beaucoup de doute. Car plus l'histoire avance, plus j'ai l'impression que c'est très différent des tout premiers chapitres. Et je suis plutôt préoccupé par beaucoup de choses en ce moment. Rien de grave.

Les personnages qui ne sont pas présents dans ce chapitre le seront dans le prochain. Sinon le chapitre aurait été deux fois plus long.

Je ne vous embête pas plus longtemps. Bonne lecture à tous ^^.


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Le lendemain du soir de Noël, à la Nouvelle-Orléans, Rosie et Alastor se promènent dans la ville. Il n'y a pas de neige, mais il y a énormément de décoration qui font deviner aux passants à quelle période de l'année nous sommes.

Les deux jeunes amis se sont arrêtés à un marchand ambulant pour acheter des marrons chauds. Ils reprennent leur promenade et discutent en mangeant.

Rosie : C'est vraiment génial que nos familles se retrouvent pour célébrer Noël.

Alastor : Je trouve aussi. Et c'est agréable de se voir en dehors de l'établissement.

Ils entrent dans un parc. Des familles avec des enfants et des couples se promènent. Tout le monde semble heureux et d'apprécier les vacances de Noël.

Rosie et Alastor s'éloignent un peu des groupes pour être un peu plus tranquille.

Rosie : J'avais oublié à quel point ce parc est magnifique. Et les gens sont toujours aussi souriants et charmants. Je comprends que tu ne souhaite pas quitter cet endroit.

Alastor : En effet. Jamais je quitterai la Nouvelle-Orléans pour vivre ailleurs.

Subitement, Alastor s'arrête et s'immobilise en fixant quelques choses. Rosie est un peu surprise et elle tourne la tête. Il y a un grand dalmatien qui regarde Alastor.

Le jeune homme recule d'un pas et le chien grogne en montrant les crocs. Alastor angoisse et est incapable de faire un mouvement. Il est comme terrorisé et un vieux souvenirs horrible lui revient en mémoire.

Quand il avait 5 ans, Alastor jouait au ballon dans ce même parc avec un ami de son âge. D'autres enfants étaient présents et les parents étaient assis sur des bancs occupés à discutaient entre eux tout en surveillant les enfants.

Un chien laissait sans surveillance passait non loin de là et ne semblait pas apprécier tout ces jeunes êtres humains faire du bruit et courir dans tout les sens.

Le chien était un mélange de plusieurs races et ressemblait un peu à un grand loup. Comme Alastor et son ami étaient les plus proches du molosse, il se jeta sur celui qu'il vit comme le plus faible.

Alastor n'avait pas le temps de comprendre ce qu'il se passait ni de réagir. Le chien l'avait saisi par le bras gauche et l'avait jeté comme une poupée de chiffon. Le jeune garçon avait crié de peur et de douleur et son ami avait essayé de l'aider en jetant le petit ballon en plastique sur le chien. Mais sans grand résultat. Le molosse tout en muscles n'avait rien senti et était bien trop occupé à se jeter une nouvelle fois sur Alastor et le mordre en grognant.

Hazbin Hôtel Et Helluva Boss Human AUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant