Ceci est le tome 2 de ma fanfiction sur Edmund Pevensie. Attention, ce tome sera plus violent que le précédent. Ne le lisez pas si vous êtes sensible à ce genre chose. Bonne lecture :)
« D'abord mon cousin et ensuite ma sœur, ils ont tous décider de me piquer ma copine dans cette famille. » bougonna le brun en s'allongeant à nouveau alors que la jeune femme sortait de la couchette.
« Ta copine ? » demanda-t-elle amusée.
Mais le roi ébène croisait les bras d'un air boudeur et tournait le dos à la combattante.
« Rappelle moi tu as quel âge ? Trois, quatre ans ? C'est que tu commence à être grand. » se moqua l'ombre en s'étirant.
Puis le roi ébène se redressa avant d'attraper la jeune femme par la taille et la hisser dans la couchette.
« Non. Ed ! » grogna-t-elle avant de se débattre.
La combattante s'extirpa difficilement de l'emprise du brun en riant avant de se mettre à califourchon sur lui.
Tendrement, elle perdit ses pupilles azurs dans son regard ébène sans pouvoir se détacher ce stupide sourire niais de son visage.
« Il faut vraiment que t'arrêtes de faire ça. » murmura-t-elle.
Le roi ébène embrassa violemment la jeune femme qui fit accompagna son baiser avec des mouvements de hanches.
Leurs baisers fiévreux les consumaient entièrement et les doigts fins du brun parcouraient l'intégralité du corps de la combattante sans aucune pudeur.
D'un mouvement agile, Edmund inversa les rôles, la faisant rouler sur le côté.
Son corps brûlant de désir surplombait désormais le sien et leurs respirations se mélangeait violemment alors que leurs langues dansaient, s'entremêlant, sans savoir comment s'arrêter.
Il la voulait, elle, entière.
Chaque parcelle de son corps, de sa peau, de son être.
Il pressait leurs bassins davantage sentant qu'il allait bientôt perdre le contrôle.
Elle le rendait fou.
Son sourire, ses yeux, sa voix, ses lèvres.
Ses putain de lèvres.
Le brun quitta la bouche de l'ombre pour retrouver son cou.
Le contact violent de ses lèvres humides contre sa peau fine fit cambrer la jeune femme qui retint difficilement un gémissement.
Le roi ébène traçait des sillons brûlant du bout de sa langue, ou encore affamé, embrassait rageusement la naissance de son cou.
Mais cette fois-ci, il ne s'arrêta pas.
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ATTENTION ! Le chapitre suivant sera du lemon, donc sautez le si vous voulez pas le lire, et pour les autres bonne lecture ;)
