Chapitre 83 - Essaye seulement d'enlever ta veste...

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Chapitre 83 – Essaye seulement d'enlever ta veste laprochaine fois que nous jouerons au basket.


L'hiver était bien avancé. Il ne neigeait pas souvent dans A City, mais l'air humide et froid transperçait les vêtements.

Xie Yu posa son stylo. Il portait toujours la veste que He Zhao lui avait passée sur ses épaules. Il a souri légèrement et a dit : « C'est tout ce que tu veux ? »

Puis, avant que He Zhao ne puisse répondre, Xie Yu l'appela 'ge' sans plus réfléchir.

Xie Yu avait récemment attrapé un léger rhume. Après avoir joué au basket et transpiré, il s'était déshabillé jusqu'à son fin maillot de corps et avait couru dans le vent pendant la moitié du cours. Maintenant, sa voix était légèrement rauque et portait un soupçon d'apathie insouciante.

Mais He Zhao était fasciné par le mot simple et léger.

Il enfouit la moitié de son visage dans sa main, se pencha en arrière sur sa chaise et soupira doucement : « Qui punit qui ici, vraiment ? »

Il se faisait tard. Xie Yu pressa la main contre sa tempe, puis se leva et commença à partir. Mais avant qu'il ne puisse faire deux pas, He Zhao agrippa fermement son poignet par derrière et Xie Yu l'entendit dire : « N'y va pas. »

He Zhao a répété: "Ne rentre pas ce soir."

Xie Yu a arrêté de marcher, laissant He Zhao l'attraper et n'a pas lutté pour se libérer. « Je t'appelle 'ge' et tu me laisses partir. Quel idiot a dit ça, déjà ? »

He Zhao a dit: "Ouais, quel idiot?"

Le dortoir auparavant brillamment éclairé avait maintenant toutes ses lumières éteintes. Le gardien de sécurité a marché en bas des escaliers, lampe de poche à la main, sa lumière traversant l'obscurité de la nuit. À l'extérieur de la fenêtre, on voyait la lumière clignoter de temps en temps.

Le lit simple était trop étroit. Xie Yu a enlevé son pull et était peau à peau avec He Zhao quand il s'est allongé.

Inconfortable, il a déplacé de manière sa jambe, qui était contre celle de He Zhao à travers le tissu. Son pied cogna celui de He Zhao et He Zhao poussa un sifflement de douleur, puis avertit à voix basse : « Ne bouge pas. »

Xie Yu ouvrit les yeux et se tourna pour le regarder.

Ils passaient parfois la nuit dans le dortoir de l'autre.

À l'extinction des feux, ils disaient qu'ils devaient partir, puis ne bougeaient pas, et finalement ne partaient jamais même s'ils le voulaient.

Les dortoirs d'Erzhong étaient très bien gérés. Un étudiant n'a qu'à déposer une demande s'il souhaite échanger de chambres de dortoir, et les procédures étaient terminées dans les trois jours. Mais la situation de Xie Yu et He Zhao était différente.

Avant de faire une demande auparavant, ils devaient s'inquiéter de la pile de matériel d'étude parascolaire et de papiers tests qu'ils cachaient. Si l'un d'eux emménageait vraiment avec l'autre, auraient-ils besoin de se lever au milieu de la nuit pour faire des questions pratiques en secret ? Mais maintenant que leur secrets étaient connus de l'autre, ils n'avaient plus cette inquiétude et avaient à nouveau pensé à changer de dortoir.

Mais lorsque Chien fou a reçu la demande, il était tellement en colère que sa tête aurait pu gonfler au double de sa taille. Il a frappé sur son bureau et a dit : « Tous les deux, qu'est-ce que vous prévoyez ? Allez-vous jouer à des jeux vidéo jusqu'au milieu de la nuit ? J'ai vu plus que ma part de votre genre de trucs, je vous le dis maintenant. »

Fake slackers (Faux fainéants - FR) - Mu Gua Huang (terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant