14 - implorer Enzo Lombardi

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Le journaliste est repassé par la maison, a montré les photos à Enzo qui a eu l'air satisfait et il a précisé qu'il enverrait l'ébauche de l'article le soir meme. Après avoir fermé la porte, Enzo a déboutonné son Chino en venant vers moi. Je le regardais, fascinée, glisser la main dans son caleçon et exhiber sa verge. Arrive face à moi, il empoigna mes cheveux et me força à me lever et à m'agenouiller face à lui. Il ramena mon visage vers son sexe et s'enfonça dans ma gorge. Cela dura plusieurs minutes, sans tendresse. Il me releva, toujours les cheveux dans son poing et me fit agenouiller sur le fauteuil. Il écarta ma culotte et s'enfonça sans manière dans ma féminité. Le rapport fit douloureux et me laissa insatisfaite et honteuse de ce qu'il venait de m'imposer. Il partit se coucher sans un mot et je dus trouver la force de me trainer jusque sous la douche pour me laver longuement de ce rapport violent.  La balade en mer du lendemain fut annulée et nous sommes rentrés très tôt. Enzo est parti s'enfermer dans son bureau à l'étage inférieur, pendant que je travaillais sur mon ordinateur dans l'appartement. Vers onze heure, je reçus un lien transmis par la boîte mail d'Enzo. Quelques photos "volées" sur la plage et un joli article depeignaient un jeune couple très amoureux, partageant des goûts communs en matière de cuisine et de littérature. Une jeune femme adorable, intelligente, fascinée et charmée par le charismatique homme d'affaire, lui-même séduit par la fougue de sa jeunesse et son visage d'ange. Une véritable idylle ! De faux témoins attestaient d'une véritable histoire d'amour naissante et de deux tourtereaux attentionnés l'un envers l'autre. En post-scriptum, Enzo me demandait de passer au bureau dès que possible. Je descendis au bureau et entrais en m'annonçant d'un léger coup à la porte. Enzo était plongé dans la pénombre. Il avait sûrement à nouveau une migraine. J'approchais de lui pour lui caresser les cheveux mais il n'avait pas l'air de cette humeur. Il me retourna, baissa la couture de mon legging et me plaqua sur le bureau, sa main écrasant ma nuque. Il me pénétra ainsi, brutalement jusqu'à la ruade finale qui s'acheva dans un grondement satisfait. Il s'arracha de mon sexe et gifla mon derrière, avant de m'ordonner de retourner à l'appartement. Je me rhabillais tête basse et obeissais à son ordre. Rentrée à l'appartement, je me jetais à nouveau sous la douche, en larmes. Enzo rentra quelques heures plus tard, arborant toujours son regard noir. J'essayais d'entamer une conversation : "- ta journée s'est bien passée ?" Pas réponse. Il partit en direction de la chambre et commença à se déshabiller. Il avait évoqué quelques jours avant un spectacle où il voulait m'emmener ce soir et je décidais de l'interroger:
"- est ce que nous allons toujours..."
"- déshabille-toi" grogna-t-il.
"- Enzo, est-ce que tu pourrais être plus..."
"- tais-toi et obéis moi"
Une larme perla au coin de mon oeil et je fis passer mon pull au dessus de ma tête, révélant mon soutien-gorge. J'approchais de lui et lui pris la main pour la mettre sur mon sein. Cet homme adore les seins. Peut-être que si je suis caline et le réclame il sera plus tendre et me donnera moins l'impression de subir un viol... Enzo caresse mes seins puis il nous soulève tous les deux et me jette sur le lit. Il attrape mes jambes et me traine pour me ramener au bord du lit. Il craque mon legging au niveau des fesses et je sens qu'il me maintient ainsi d'une main. J'entends qu'il de déboutonne dans mon dos et je sens sa verge presser contre mon intimité, qui est toute séche. Il force encore et face à la difficulté, il crache dans sa main, humidifie sa verge et pousse à nouveau dans mon petit canal lubrifié. Chaque coup de rein est une torture et je pleurs sans retenue. Je sens qu'Enzo sort entièrement sa verge et soudain je sens une poussée brutale au niveau des fesses qui me poignarde littéralement. Je bondis sur le lit, envahie par la douleur et j'hurle en guise de protestation. Enzo saisit mes chevilles et me traine à nouveau vers le bord du lit et me repenetre d'une poussée violente. J'éclate en sanglots pendant qu'il continue ses vas et viens. Après plusieurs poussées atrocement douloureuses, je me résous à le supplier d'arrêter. A ma grande surprise, il s'extrait de moi et se reboutonne.
"- pourquoi? Pourquoi tu me fais subir ça depuis deux jours? Avant tu me faisais l'amour, tu me donnais du plaisir, mais ces derniers jours tu me salis, tu veux me faire du mal!"
Enzo baisse la tête. "- Je te traite comme tu le veux..."
"- quoi?"
"- hier tu as dit que tu étais sous contrat pour rembourser ta dette. J'ai tout fait pour que ce soit agréable pour tous les deux et que tu ne te sentes pas utilisée, mais tu persistes à dire que tu payes ta dette, alors je te traite comme je traiterai une femme que je paye pour son corps."
"- Enzo... Faisons comme avant s'il te plaît... J'aime tellement quand tu es câlin et gentil, j'aime m'endormir dans tes bras et que tu me fasses l'amour en étant attentif, quand tu me donnes du plaisir... Ne me fais plus de mal s'il te plaît..." Je le supplies à voix basse, les yeux baignés de larmes et j'essaye de venir m'accrocher à lui. Il détourne la tête, jusqu'à ce que j'arrive à grimper sur ses genoux et que ma bouche trouve sa nuque. "- Enzo..." Je murmure d'une voix câline et je frotte mon nez contre lui. Je sens qu'il soupire et continue mon exploration. J'arrive à son oreille et en mordille le lobe. Il ferme les yeux et referme les bras sur moi. J'ai l'impression de gagner quelque chose mais au fond... Cet homme me maltraite depuis quelques jours et accepte mon pitoyable câlin. Est-ce vraiment une victoire ? Enzo me soulève et m'installe à côté de lui et allongés l'un contre l'autre, il me berce doucement.
"- tu as eu très mal?" Demande-t-il en caressant mes fesses.
"- comme un coup de poignard... Dedans... Et à chaque coup de reins c'était pareil..." Il me couvre de baisers, comme pour se faire pardonner et me serre contre lui. Sa main passe entre mes cuisses et il effleure mon intimité. Je pousse un gémissement plaintif quand sa main part trop haut et rejette la tête en arrière, contre son cou, comme pour quémander plus. Il repasse la main et ses doigts s'attardent sur mes plis intimes. Il trouve le petit bouton de chair qui m'arrache des cris de plaisir à coup sûr et il le fait rouler entre ses doigts jusqu'à ce que je crie.
Au moment où mes yeux se ferment, épuisés de contentement, Enzo grogne à mon oreille : " - demain, tu passeras dans mon bureau vers 11h00, nous commencerons à entraîner ton petit cul pour que je puisse prendre mon plaisir"
Une vague glacée descend ma colonne vertébrale et mon corps se raidit à ces mots. Il va recommencer.

Série: Le Contrat. Tome 1. Factices FiançaillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant