/Mon prince charmant/TodoBaku/(TERMINÉE)

Chapitre 7 : bienvenue dans la famille

PDV Shoto :

Sa fais au moins 10 minutes que le fils des Bakugo me répète que je ne peux pas venir avec lui sous prétexte que je ne suis pas en état. Alors que je lui explique que c'est en parti de sa faute si je ne peux plus utiliser ma jambe avant un bon bout de temps comme Madame Bakugo me l'avait expliquée quelques heures plus tôt.

- je ne reviendrais pas sur ce que j'ai dis, c'est non.

Je soupire d'agacement et fini par sortir de sa chambre.

- Eh ! Tu vas où comme ça ?

- discuter avec ta mère, tu n'auras qu'à venir me chercher quand tu seras enfin rentré, dis-je en insistant sur le "enfin" juste pour l'énerver.

N'allez pas croire qu'on se disputait pour des choses aussi futiles, j'ai autre chose à faire que de me prendre la tête avec lui, mais j'aime bien l'embêter un peu, juste pour qu'il râle.

Je passais devant la chambre de la mère de Katsuki lorsqu'elle me fit signe d'entrer. Je m'exécutais et elle brandis devant moi une tenue semblable à celle du blond composée d'une grande cape rouge avec un col en fourrure blanche relié par une chaine en or décorée d'un saphir. Le haut manche longue était noir et possédait de nombreux motif tel la fleur de lys? Le bas était un simple pantalon noir avec les bordures de couleur or pour rappeler les motifs sur le haut et de magnifique chaussures de couleur marron foncé était posées sur un siège prêt de moi.

- voilà ton nouveau costume ! J'ai également rajoutée quelques petites touches personnelles tel qu'une boucle d'oreille avec une plume au bout pour rappeler le symbole de notre famille. Accepterais-tu qu'on te perce les oreilles ?

- hum- pourquoi pas.

- parfait alors ! Prend place sur ce fauteuil j'appelle ma domestique.

Elle partit puis revint rapidement avec la prénommée Jirou, elle devait avoir la vingtaine et elle commença à m'habiller pendant que la reine rejetait mes cheveux blanc sur mon côté rouge. (voir photo du chapitre)

Puis vint le moment le plus douloureux : percer mes oreilles.

Un deuxième domestique arriva avec une aiguille, des serviettes propre et de quoi désinfecter.

Je fermai doucement mes yeux essayant de me concentrer sur quelque chose.. Mais quoi ?

Le prince ! Je repensais à la scène de ce matin... Son torse musclé, son visage apaisé, son odeur de lavande, ces colliers colorés qui brille à la lumière du jour, son corps bouillant...

- c'est finie !, m'annonça Madame Bakugo me faisant sortir de mes pensées, as-tu eu mal ?

- hum- non, je n'ai rien senti.

- tant mieux, d'ailleurs j'y pense, Katsuki n'était pas avec toi ?

- il sortait avec ces amis

- je l'ai mieux élevé que ça, dit-elle en soupirant, mais bon, ce n'est pas grave, nous allons pouvoir faire plus ample connaissance. Mon mari voudrait que tu ailles à son bureau cette après-midi pour t'entretenir avec lui. Bienvenue dans la famille Bakugo mon garçon !

Elle me prit dans ces bras avec une douceur... Sa me rappelle ma mère, cette odeur m'avait manquée, l'odeur que seul les mères possèdent.

J'empêche une larme de couler alors que je me défais de son emprise en lui souriant? Pourquoi pleure-t-elle ?

- désolé Madame Bakugo ! Je ne voulais point vous rendre triste ! Toutes mes excuses, dis-je m'abaissant légèrement.

- ce n'est rien jeune homme... C'est juste que mon fils ne m'apporte plus vraiment d'affection depuis quelques temps..

- je suis vraiment navré, en connaissez-vous les raisons ?

- et bien.... Oui. Cela fait des années que moi et mon mari lui expliquons que la succession du trône allait se faire lors de ces 20 ans. Nous voulions le voir heureux et épouser une personne qu'il aime car le mariage forcé ne nous intéresse point, j'ai moi-même été mariée à Masaru par amour et non par la force. Il nous as promis qu'il allait y réfléchir mais il ne l'a pas fait et a préféré passer ces journées avec Yuki dans la forêt. Avec son père nous avons donc été obligé d'organiser une petite réception réunissant beaucoup de jeune homme et jeune femme de son âge et elle aura lieu dans deux semaines. Il me dit qu'il peut gouverner seul mais la loi est la loi et bien que nous aillons beaucoup de pouvoir il y a certaines règles que nous sommes obligés d'instaurer pour le bien de notre peuple. De plus, ces temps-ci nous recevons beaucoup de lettres ces dernières semaines nous prévenant d'une éventuelle attaque d'un clan venu du Nord, c'est pour cela également qu'il est contrarié, car il ne doit pas quitter l'enceinte du château.

- je vois.. Je suis vraiment navré. J'essaierais d'en parler avec lui si vous le désirez.

- Izuku mon garçon tu es si gentil... Ne te force pas à le faire, tu sais, mais cela lui permettras peut-être de mieux vous appréciez. Si vous voulez vous pourrez même assister à notre petite soirée qui aura lieu dans 14 jours exactement.

Pauvre Midoriya, si il savait que j'utilise son identité pour me faire le plus discret possible, j'espère qu'il ne m'en voudras pas.

- je n'y manquerais pas, Madame Bakugo.

J'allais ouvrir la porte mais cette dernière rencontra mon pauvre nez avant que j'ai eu le temps de faire le moindre geste.

- Oh la vieille !-

- Katsuki, fait attention !

Jirou m'apporta une serviette et je la remerciais d'un hochement de tête.

Quant à Katsuki, il s'excusa et devint rouge en voyant mon nouveau costume.

- C'est urgent maman.

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904 mots

boo !

hehe

à votre avis...

qu'est-ce qui est si urgent ?

j'aime le suspeeeeens MOUHAHAHAA

...

pardon 

kiss mes miaou <3