Why not me ?

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Je suis de retour ! Incroyable, bon et bien merci pour le 1k de vue ça fait toujours plaisir on va pas se mentir ( et ça rime ). J'informe juste que ce chapitre a des insinuations de viol donc si vous êtes sensible et bien vous êtes prévenu.

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« Dazai n'était pas quelqu'un qui allait parler au personnes qu'il croisait dans la rue et si quelqu'un l'abordait, il l'ignorait. Il était peu être envahissant et trop sociable pour son entourage proche mais il était certain qu'il ne perdrait pas son temps à embêter les inconnus dans la rue. Toujours est t'il qu'un beau jour alors qu'il se promenait un jeune homme lui fonça dedans. Le garçon devait avoir le même âge que Dazai. Celui ci se releva précipitamment et après quelques excuses aida Le Brun à se relever. »

???: - Oh excusez moi...je ne regardais pas devant moi, venez je vais vous payer un café pour me faire pardonner !
Dazai: - Oh, je ne...
???: - Allez venez !

« Dazai suivi l'homme jusque dans le café le plus proche. L'ambiance était sympa et les serveurs chaleureux mais le brun se sentait malgré cela inconfortable . Le garçon d'en face lui était inconnu et il ne lui faisait pas confiance... »

???: - Au fait, je m'appelle Charles, Charles Baudelaire ! Et vous, quel est votre nom ?
Dazai: - Osamu Dazai...
Baudelaire: - Dazai ?! Le Dazai, celui qui a fait parti de la mafia portuaire ?!

« Comment diable savait il cela ?! »

Dazai: - Hum...oui, comment l'avez vous su ?
Baudelaire: - Mon copain y travaille alors j'ai entendu parler de vous.
Dazai: - Ah bon, et sans être indiscret, qui est votre copain ?
Baudelaire: - Chuuya Nakahara !

« Dazai venait de se prendre une gifle, Chuuya ? Avec cet homme ? Dazai n'en revenait pas... »

Dazai: - Ah oui, je vois...

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« Dazai resta assis plusieurs heures à devoir écouter Baudelaire parler de son ex coéquipier. Il n'en pouvait plus, la jalousie qui l'animait allait finir par ressortir en coups de poing si ça continuait comme ça. Et le brun qui n'avait aucune envie de devoir s'expliquer avec qui que ce soit, décida de simuler une mission de dernière minutes devant l'autre jeune homme. »

Baudelaire: - Eh bien au plaisir de vous revoir !
Dazai: - De même !

« Dazai n'en pensait pas un mot mais il fallait bien qu'il trouve quelque chose pour éviter la catastrophe... »

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Baudelaire: - Je suis rentré !
Chuuya: - Bonsoir...
Baudelaire: - Tu ne devineras jamais qui j'ai rencontré aujourd'hui !
Chuuya: - Effectivement posé comme ça je ne vois pas de qui tu pourrais me parler...je pensais t'avait présente tout le monde mais...
Baudelaire: - Dazai Osamu.
Chuuya: - T-tu as rencontré Dazai ?!
Baudelaire: - Oui, charment jeune homme très poli...
Chuuya: - Je crois qu'on ne parle pas de la même personne.
Baudelaire: - Il était grand avec des cheveux et des yeux brun, il portait un manteau beige...
Chuuya: - C'est définitivement Dazai mais le caractère que tu me décris ne ressemble en rien au sien...
Baudelaire: - Et puis qu'est ce que ça peut faire ?
Chuuya: - Je suis sûrement la personne qui le connaît le mieux, et l'inverse tiens sûrement...

« Le roux venait de prononcer la phrase de trop et il ne s'en était même pas rendu compte, il continuait de réfléchir alors que son compagnon le regardait avec un regard sombre, il commença à s'approcher... »

Chuuya: - Charles ?
Baudelaire: - Alors comme ça il te connaîtrait mieux que moi ?
Chuuya: - Quoi ? Ah !

« Charles venait de plaquer le mafieux contre le mur. Il serrait ses poignets et avait placé sa jambe entre celles de Chuuya qui était terrifié. »

Chuuya: - Qu'est ce que tu fais ? A-Arrête ca tout de suite !
Baudelaire: - Arrêter ? Comme tu es drôle...
Chuuya: - Je ne rigole pas, arrête ça !

« Mais alors que Chuuya paniquait quelqu'un vint frapper à la porte... »

Baudelaire: - Je vais ouvrir, tu ne bouge pas !

Baudelaire: - Oh bonjour, ou plutôt re bonjour !
Dazai: - J'aimerais parler à Chuuya, il n'est pas là ?
Baudelaire: - Non, désolé mais je lui ferai passer le message sans faute !
Dazai: - Bien, merci...

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« Le lendemain alors que le détective se promenait au bord de la rivière il vit le rouquin et décida d'aller lui parler, mais à sa grande surprise, celui ci avait l'air d'aller très mal. A vrai dire il ne l'avait jamais vu dans un pareil état... »

Dazai: - Hey, Chuuya, qu'est ce qu'il y a ?
Chuuya: - Dazai ?
Dazai: - Oui...

« Le brun s'assit et voulu prendre le plus petit dans ses bras mais celui ci eu un mouvement de recule étonnant. »

Dazai: - Eh, calme toi, qu'est ce qu'il c'est passé ?
Chuuya: - J-je...

« Chuuya ne pouvait tout de me pas lui expliquer qu'ils parlaient de Dazai et que son copain avait perdu la tête à cause de ça ? »

Chuuya: - Hier, Baudelaire m'a parlé de votre rencontre...il m'a décrit ton caractère à son égard et ça m'a surpris alors je lui ai demandé de te décrire physiquement et c'était ton portrait craché alors j'ai cherché des explications. Mais il s'est lassé et m'a demandé qu'est ce que ça pouvait me faire, je lui ai répondu que...
Dazai: - Que ?
Chuuya: - J'ai dis que j'étais probablement la personne qui te connaissait le mieux et que c'était sûrement la même chose dans l'autre sens...mais il s'est énervé et il m'a...c'est de ma faute je n'aurais jamais du dire ça. J'aurais du me rendre compte et m'arrêter...

« Dazai était quasi sûr de savoir ce que Chuuya avait voulu dire et cela le rendait fou... »

Dazai: - Chuuya ce n'est pas de ta faute...
Chuuya: - Je ne fais que ça, parler de toi, tout le temps...je comprend qu'il en ait eu marre c'est normal...
Dazai: - Ça n'excuse en rien ce qu'il t'a fait !
Chuuya: - Mais Dazai ! Tu ne comprends pas ?! Je n'arrive pas à me défaire de toi, on s'est toujours chamaillé mais tu as toujours eu une place spéciale dans mon cœur et Charles doit la supporter tout le temps. Il n'a jamais rien dit jusque là. Il laissait passer...
Dazai: - Pourquoi est tu es resté avec lui ? Pourquoi tu ne m'en a jamais parlé ?
Chuuya: - Il me fait me sentir moins seul, je ne vois plus comme avant. Je n'en aies plus besoin...et puis même si j'étais venu te parler tu ne m'aurais pas pris au sérieux tu te serais moqué...
Dazai: - Détrompe toi, j'aurais accueilli tes sentiments à bras ouverts.
Chuuya: - Dazai...tu vas me faire croire que...
Dazai: - Tu veux que je te le prouve ?

« Le brun pris le visage du mafieux et réuni leur lèvre, le plus petit n'en revenait pas mais le plaisir qui les parcouraient fut de courte durée étant donné que le compagnon du plus petit les interrompu. »

Baudelaire: - Alors c'est comme ça ? Tu as fini par me tromper après toutes le fois où tu m'as parlé de lui ?
Chuuya: - Non...je
Baudelaire: - Tais toi ! Tout ça c'était des paroles en l'air, un baratin ?!
Dazai: - Je vous conseil de ne pas faire un pas de plus...
Baudelaire: - Eh petit, tu sais à qui tu t'adresse ?

« Baudelaire dans sa rage folle fit sortir du sol une énorme rose qui émis une lumière blanche mais ce cinéma s'estompa rapidement, pas une seul fois, Chuuya n'avait parlé de l'habilite de Dazai, et ça avait joué en leur avantage. Le Brun lui sautât dessus, l'assomma et lui mit des menottes. Il demanda à Atsushi de s'en occuper même si il du négocier. »

Dazai: - Tu viens chez moi ? Je pense que tu as besoins d'oublier.
Chuuya: - Oui, je te suis...

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Dazai: - Tu sais je le pensais sincèrement...je t'aime Chuuya Nakahara ! J'aurais du te le dire plus tôt et toi aussi...
Chuuya: - On fait une belle paire d'imbécile.
Dazai: - Une belle paire d'imbécile heureux...

Fin

Os {Soukoku}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant