Tout commence par le commencement...

Chapitre 10

Hailey et Furie en couverture 😉
---------
On fis des exercices et au bout de 50 minutes nous dûmes galoper. Arriver à mon tour, j'attendis un tournant et la mis au galop, j'adorais cette allure nous avions juste l'impression de courir à toute vitesse avec un hêtre cher.

Le cours fini je la rentrais dans son boxe, la dès sella, la dès brida, et alla ranger tout ça. je reviens près d'elle et la caressa tout en lui donna son bonbon.

-Ta encore bien travailler Fu ( c'était son surnom ).

Je lui fis un bisous et m'en alla.
-------
A la maison je partis chercher mon gsm dans ma chambre et vu que j'avais un message de Laura

De Laura:
Hey poulette sa te dis de faire les magasins entre meilleure amie aujourd'hui ?

A Laura:
Je viens de rentrée du manège désoler de répondre si tard, sinon ouais a quelle heure ?

De Laura:
Vers 14heures.

Je répondais d'un bref "ok" et je partis prendre une douche et m'habillais d'un tee-shirt beige avec un jeans bleu foncé et des ballerines beige et noir. une fois prête je prévenais ma mère que j'allais rejoindre Laura au centre commercial.

Je fis un détours pour allée à notre point de rendez-vous comme à chaque fois,c'était un café ou il fessait des cafés merveilleux et oui c'est logique que dans un café on y fasse des cafés.

Elle arriva au bout de 5 minutes et nous partîmes faire les magasins.
Je rentrais dans mon magasin préféré, les habits étaient juste ma-gni-fique !

Passage des magasins.

Pour finir je n'avais pas trouvée grand chose à part un pantalon noir et des talons de la même couleur.

J'avais proposer à Laura de venir dormir comme ça elle me verra au moins une fois en obstacle et elle était d'accord. quand on arriva à la maison maman n'était pas rentrée et Lola était avec son copain Scott.

-Tu veux mangé quoi ?

Je savais vraiment pas quoi faire.

-On commande des pizzas ?
-Ouais

Je pris le téléphone et commanda une Margarita pour moi et une jambon pour Laura. elle fessait n'importe quoi alors je décida de lui envoiller un des oreillers du fauteuil et s'en suivis d'une bataille de polochons acharner comme on s'avait si bien les faire.