Je sens quelqu'un me secouer et je grogne. On tape dans mon pied et je me réveille en sursautant.
May me regarde confuse alors que Peter est à la porte, à me fixer lui aussi.
Je regarde autour de moi pour voir que je suis assis contre le mur dans le couloir devant mon appartement. Heath et Liam sont endormis à côté de moi. Heath et moi on est torses nus et Liam est emmitouflé dans nos hauts.
- Oh la vache... Je me frotte le visage, l'alcool ayant visiblement toujours de l'effet sur moi.
- Ça va aller Romeo ? Elle me demande.
J'hoche la tête alors que celle d'Heath tombe sur mon épaule. Micah arrive au tournant du couloir et éclate immédiatement de rire en nous voyant.
May me fait signe avant de s'en aller.
- Qu'est-ce que tu fous là toi ?
- Papa m'a envoyé un message pour venir vous ramasser. Il avait pas le temps ce matin.
J'ouvre la bouche offensé.
- Attends, tu veux dire qu'il est passé devant nous et il a même pas prit la peine de nous réveiller ?
Il sourit et acquiesce en secouant Liam doucement.
- Dis, pourquoi il sent le poulet celui là ? Il demande et je fronce les sourcils.
- J'en ai aucune idée.
Les deux se réveillent et entrent dans l'appartement après que Micah est ouvert. Je tente de me relever mais ma tête se met à tourner et je retombe sur mes fesses.
- Romeo ça va ? Demande Peter inquiet en s'approchant de moi.
Je grimace.
- Oh J'me sens mal.
- Viens, tu devrais aller te coucher. Il dit.
Il m'attrape sous les aisselles et me lève sans vraiment faire d'effort. Je m'avachis complètement sur lui alors qu'il me traîne jusqu'à ma chambre.
Je vois Liam et Heath dans la salle de bain, sûrement en train de vider leurs estomacs.
Micah m'apporte une bassine avant d'aller surveiller les deux autres. Peter m'allonge et trébuche. Il tombe sur moi et je le serre.
- Tu me manques Pete.
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Unexpected [Peter Parker]
FanfictionL'histoire d'une amitié hors du commun ou plutôt de ce que c'est de tomber amoureux sans s'en rendre compte... « Les âmes fortes ont des sentiments bien plus violents que les autres lorsqu'elles sont tendres » - Voltaire ...