Chapitre 2

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02: The house.

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William's Story


C'est moelleux, chaud, et l'envie de sortir d'ici ne me tente absolument pas.

J'ai vraiment pas envie de sortir de ce lit. J'ouvre un œil, puis deux. Le soleil tape en plein dans mon visage, alors je les ferme. Puis rouvre l'un et l'autre.

Arrrrrrrrgh je veux pas me lever!

Je me redresse et m'assoie sur mon lit en face de la terrasse de ma chambre.

Mes sourcils se froncent. Deux jours étaient passer depuis, et aucune trace des Mendoza sur notre territoire. Peut-être qu'ils attendent le moment propice. Va savoir je ne suis point dans leur tête.

Je me couche au sol et commence mes pompes matinales. Après les avoir terminé, je me dirige vers la douche, puis me brosse les dents. J'enfile un ensemble gris de la marque Nike et sors enfin de ma chambre.

Comment dire ? Je suis un peu en conflit avec mes paternelles, enfin en conflit, c'est minime comme mot. On va dire que les conflits dans cette maison ce règle à coup de feu. Parents pas parents, enfant pas enfant, que pourrais-je dire : on est comme ca les Weapon ?

Ce qui a conclut de cette alternative, a été que je vais tout simplement la faire fuir. La nana Mendoza.  Malgré la futur liaison que nous allons avoir, aussi simplement que sa. Personne ne met imposer. Je vois plus sa comme un fardeau que comme un héritage. Et puis d'abords qui a écrit se testament ?

— Apporte moi à manger.

— Oui, monsieur.

La servante s'en va vers la cuisine et moi vers la salle à manger.

Je m'assieds et attend qu'elle vienne me servir. Les jumeaux arrivent, toujours habillé de la même couleur. Mais pas dans le même style vestimentaire.

Tayron, était plus dans le style classe et très chic. Loin de vous l'idée qu'il s'habille tout le temps comme sa mais, quand même. Alors que Tayler lui, faisait plus street avec ces gros joggings qui descendais bien en dessous de ces fesses. Il me faisait le plus rire entre les deux, et c'est aussi le plus supportable. Je dirais pas qu'il est soumis, mais il écoute beaucoup plus que son frère Tayron, qui lui si ce n'était il y a trois jours, aurait trouver un moyen pour me contredire. Mais bon , il a compris depuis bien longtemps que sa ne marchera jamais. Aujourd'hui ils avaient opté pour du beige assez claire.

— Vous n'avez toujours rien remarquer d'étrange ?

— Négatif Boss.

J'esquisse un petit sourire en coin qui est surement visible seulement par moi. Je vous dit qu'il me fait rire ce gosse. Et pourtant il n'a rien dit, juste sa manière d'être me fait rire en rire.

BLACK WEAPONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant