Chapitre 18

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Bonjour à tous et à toute ! Je vous previens déjà que demain le chapitre sera posté très tard, pour raison personnelle !
Bien évidement je vous tiendrais au courant de l'heure sur mon Instagram : missmister.5
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Bonne lectuuuure

Asya :

Eloi me rejoigna en haut des escaliers.

- Et bah enfin.

Il me pris pars la main, et nous nous dirigeons à l'endroit où est ma chambre.

Sauf qu'il rentra dans la pièce juste avant la mienne.

Je suis conne la vérité, il était à côté de moi tout ce temps ?

Et vazi bac-12.

On rentra donc dans sa chambre.

La mienne était tout en blanche, contrairement à lui.

Tout en noir.

Ça reflétait bien son côté sombre.

Même la salle de bain était noire !

Le dressing, quant à lui, était plus grand que la chambre.

Mais... À moitié vide.

- Pourquoi elle n'est pas remplie ? Lui demandais-je.

- Je co-habitais avec Liam quand on était enfant. Depuis, je n'ai pas touché à sa partie. Qui..

- Va devenir la mienne.

Finissais-je.

Et il acquiesça.

Puis il ouvrit la baie vitrée pour aller fumer dehors.

Je le rejoigna car j'avais envie de fumer.

Ce manque de nicotine était bien présent.

- Pas touche, c'est les miennes princesse.

- Aller quoi ! J'ai envie de fumer donc dépêche.

- Non. Et il rangea son paquet dans sa veste.

Je compte bien l'avoir d'une manière ou d'une autre.

De ce fait, je m'approcha de lui.

Tandis qu'il tira une latte, je levais ma main où était rangé le paquet.

Et lorsqu'il essaya de m'en empêcher, je vola la cigarette qu'il avait en main et tira une bonne latte à mon tour.

Il me regarda, surpris qu'il se soit fait prendre comme un con.

- Je t'ai sous estime ma belle. Rappe-le moi de ne plus jamais le faire.

Je souris, vainqueur de ce que j'ai fait.

Nous restons ainsi pendant un temps, en regardant le jardin.

- On devrait rentrer. Il commence à faire froid. Me dit Eloi.

Sauf que je ne voulais pas rentrer, alors je ne bougea pas.

Lorsqu'il me vit toujours à la même place alors que lui était déjà à l'intérieur, il dit :

- Ma belle, ton corps est divin. Mais tu penses réellement que je n'oserai pas le soulever parce que tu fais ta gamine ?

- Bah vazi, essaye un peu. Au lieu de parler. Matcho va.

Je ne sentis même pas qu'il arriva en courant, me retourna et me porta en sac à patate.

- Mais relâche-moi ! Espèce de brute, tu m'as fait mal !

L'imprévisible {TERMINÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant