Chapitre 30

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Asya :

Je me réveilla. Seule. Eloi n'était plus dans le lit.

Il est parti ou ce con ?

Et surtout, depuis combien de temps, il n'est que 9h du matin ??

Fin, je ne sais pas, ce n'est pas comme si on s'était endormi vers 4h, après notre séance d'amour. De câlin et se bisous.

Je me leva et pris la direction de la douche.

L'eau à température chaude.

Quel délice.

Je mis une bonne demi-heure à me préparer.

Puis je me dirigea vers ma garde-robe.

Bon, qu'est-ce que je vais mettre ?

Mais plutôt, qu'est-ce que je vais faire aujourd'hui.

Si Eloi s'était lève-tôt, c'est qu'il a voulu savoir toutes les dernières nouvelles depuis 2 mois.

Donc pourquoi pas décontracter ? Pour une fois ? Ça fait deux mois que je mets des putain de talons ! J'ai mal aux chevilles à force !

De ce fait, op un jogging noir avec un top à fine bretelle de la même couleur. En chaussette et c'est bon.

Après tout, je suis cher moi !

Je me maquillais quand même, on ne sait jamais.

Bon rien d'extra de ouf. Du crayon et une couche de mascara.

J'attachai mes cheveux en chignon bas. Depuis deux mois, ils ont bien poussé.

Il faudra que je passe cher le coiffeur refaire tout ça.

Je sortis de ma chambre en direction de la salle à manger.

J'ai une faim de loup !

Fin de louve plutôt, mais bref, on n'est pas à un détail près.

Lorsque j'allais descendre les escaliers, je vis la porte de Liam entre ouverte.

C'est bizarre, il ne l'a laissé jamais ouverte d'habitude.

Alors que je passa ma tête, je le vis dans le lit. Endormis, le drap à terre et.. Oh putain !

Je referma la porte en scred.

Je n'en reviens pas...

J'ai vu la lune.

Pour oublier tout ça, il faut que je pense à autre chose.

Que je m'occupe l'esprit.

Une image des fesses d'Eloi apparaît donc.

Ce qui me donna un sourire pervers, que je retira une fois que je suis en bas des escaliers.

J'ai toujours les paroles d'Eloi en tête. C'est vrai, maintenant qu'il est présent, on peut enfin se marier comme convenu.

Cette fois-ci, un sourire heureux se plaqua à mon visage.

- Tu es bien rayonnant ma fille.

Papa.

Je me retourna et le vis, des bagages à la main.

- Ou tu vas ? Demandais-je.

- Je pars en vacances. À Hawaï.

Quelle chance punaise. C'est juste, il est à la retraite à présent. Il a bien le droit de profiter, après tout ce qu'il a déjà fait.

- Quand pars-tu ?

Je m'approcha de lui pour lui faire un câlin.

- Mon avion est dans 1h. Le temps du trajet en voiture, je dois démarrer dans les 5 minutes.

L'imprévisible {TERMINÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant