L'imprévisible {TERMINÉ}

Chapitre 28

Voilà le chapitre du jour !!! Même en activitée je pense à vous mes miss et mister :)

Bonne lecture, soyez près !

Eloi :

La lumière, le blanc. Depuis un moment, il n'y a que ça.

Je ne sais même plus quelle couleur il existe, comment on bouge son corps, comment penser comme il faut.

Je n'en peux plus !!

Mais, attendez ??

C'est moi ou la lumière s'éloigne, me laissant dans le noir.

Ça signifie quoi ??

Attendez.

Je tombe !

JE TOMBE PUTAIN !!

Je voulais crier au secours mais rien.

Rien...

Puis la vérité me frappa en pleine tête...

Et je vis la lumière.

Non pas la blanche !

Une autre sorte de lumière..

*

J'entendis le bruit d'une machine, je sentis l'odeur d'un parfum... Vladimir. Je toucha du tissu, de la soie. J'avais la bouche sèche et mes yeux avaient du mal à s'ouvrir.

Mais il fallait que je les ouvre !

Je n'allais pas abandonner en si bon chemin.

Je les ouvris un peu, je voyais flou.

Mais bon ça, c'est pas grave, j'y arrivais !

Quand je réussis à les ouvrir complètement, je vis qu'il fessait nuit.

J'étais dans ma chambre, entouré de machines.

Une douleur dans le ventre se fit, alors je souleva mon t-shirt. J'avais une cicatrice.

Une balle. Et je me souviens. La balle, le restaurant. Le sang.

Asya...

Où est-elle ??

Je regarda alors ma chambre et je vis Vlad, mon odorat ne m'a pas trompé.

Il dormait dans le fauteuil, comme un bébé.

C'étais mignon.

Je voulus prendre le téléphone qu'il y avait à côté de mon lit sur la table de chevet, mais je n'avais pas de force que le téléphone tomba à terre, réveillant ainsi Vladimir.

Il se frotta les yeux puis me fixa.

Il eut un moment de surprise, puis de joie, puis de.. Tristesse ?

- Oh mon Dieu. Dit-il en mettant sa main devant sa bouche. C'est impossible !

Je souria, c'étais beau de voir la personne que l'on considère comme son père, être ému à notre réveil.

- Eloi... Enfin...

- Bonsoir à toi aussi Vlad. Dis-je, souriant.

Il s'approcha de moi et me fit une étreinte.

Moi qui ne suis pas fort fort tactile, je ne pouvais que l'accepter.

- On attendait tellement ton réveil..

- Je sais, et j'essayais de revenir. Et j'ai gagné.

- Tu as combattu deux mois.. C'est énorme, on ne pensait pas que tu allais réussir à te réveiller..