Chapitre 28 :

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Dans la peau de Giovanni Falconnerie

Je n'ai pas cherché à comprendre, je l'ai frappé au visage, j'ai cassé ses doigts, je sentis un truc froid, je continuai. J'avais une haine contre lui, j'essayais de retourner l'arme contre lui, on continua se frapper, puis soudain j'entendis le coup de feu partir... J'avais du mal à respirer, je sentis cette odeur, je la reconnaitrai entre milles, c'était ma petite sœur, elle me donna des petites gifles.

Je sentis un autre parfum assez fruité, la personne me fit un massage cardiaque, puis elle me fit du bouche à bouche, je l'embrassai à pleine bouche, elle me gifla et elle se leva, j'avais envie de la sentir encore près de moi, de l'embrasser encore et encore. Qu'est qui m'arriva ? Je me levais, je soulevai ma sœur, je lui fis pleins de bisous. je vu la jeune femme du train, elle était magnifique, ses yeux m'ensorcela, je la regardai. J'attrapai son bras et je lui dis :

- Qui êtes-vous ?

- Lâchez-moi ?

- Répondez à ma question, qui êtes-vous ?

- Gio, c'est ma fée qui m'a sauvé

- Sarafina, ce n'est pas le moment de me raconter des conneries.

La jeune femme profita pour partir, je serrai ma sœur et j'attachai sa ceinture de sécurité et je montais, je démarrai ma sœur se mit à pleurer. Je lui dis :

- Sarafina, calme-toi

- Veut dorino

- Dorino !?! Où l'as-tu laissé ?

- Dans la voiture de ma fée.

- Sarafina, qu'est-ce qu'il s'est passé ?

- Gio, est-ce que tu pourras retrouver ma fée ?

- Oui je te le promets mon ange, tu sais comment s'appelle ta fée ?

- Drihanna, elle est zentil avec moi.

- Est-ce que ces gens t'ont fait du mal ?

- Oui.

Je serrai le volant encore plus fort, j'avais envie de le frapper. J'étais à fond de mes pensées, je n'avais pas remarqué que ma petite sœur faisait une crise. C'est quand je sentis sa petite main sur la mienne, je tournais la tête et je la vu trembler, je me garais devant le premier hôpital. Je la soulevai et j'entrai dans l'hôpital, je me dirigeai vers l'accueil et je dis :

- S'il vous plaît... Aidez-moi...

- Monsieur, veuillez patienter

- Je crois que je me suis mal fait comprendre, vous allez lever votre gros cul et allez me chercher un médecin.

- Monsieur calmez-vous

- Vous savez qui je suis ?

Au même moment, un médecin que je connaissais passa dans le couloir, il me dit :

- Giovanni comment ça va ?

- Cristiano, j'ai besoin de toi.

- Dit-moi tout

- Ma sœur.

Cristiano fit un signe à un brancardier, il partit vers le bloc opératoire, je sortis de l'hôpital et composa le numéro de téléphone de ma mère, à la première sonnerie ma mère me répondit :

- Giovanni !?!

- Maman, c'est bon, j'ai retrouvé Sarafina.

- Où est-elle ? Comment va-t-elle ?

- Je suis à l'hôpital San Raffael, je t'envoie une voiture.

- Non je vais prendre le taxi.

- Maman, s'il te plaît

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