Chapitre 11 :

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L'inspecteur Cooper fut prévenu par le médecin que je m'étais réveillée, la dame me regardait et elle me dit :

- Comment tu te sens ?

- Mal, je suis vraiment désolé de ne pas me rappelez de vous.

- Ne t'inquiète pas ta mémoire reviendra

- Le jeune homme : l'inspecteur Cooper va venir te poser des questions,

- Moi : Quel genre de question va-t-il me poser ? Si je ne sais même pas comment je m'appelle et je ne connais ni mon âge

- La dame : Tu t'appelles Drihanna Capanda et tu as 20 ans, je suis ta mère, je m'appelle Brendy Laurène Stone et voici ton cousin Eden. Tu as aussi un frère.

- Moi : Pourquoi je ne porte pas le même nom que toi ?

- Laurène : Ton père et moi devions nous marier, mais il est décédé avec ton frère.

La dame se mit à pleurer, c'est le jeune qui la consola. Je me mis à réfléchir, mais rien je rappelai de rien, j'étais frustrée. Je leur dis :

- Moi : MMm ok et comment je suis arrivé ici et c'est quoi tous ces fleurs ?

Le jeune et la dame se regardèrent puis la dame me dit :

- Tu as sauvé 9 enfants, les parents et plusieurs personnes dans le monde t'ont rendu hommage en t'envoyant des cadeaux.

- Moi : Je pense que vous devez vous tromper, je ne suis pas une sauveuse.

- Le jeune homme : Tu te trompes, tu es une héroïne. Tu es une jeune femme forte, et je suis fière d'être ton cousin.

Face à ça, je ne savais plus quoi répondre, je fermai les yeux quelque minutes, puis j'entendu quelqu'un frapper à la porte de ma chambre, il me dit :

- Bonjour Drihanna, je suis l'inspecteur Cooper

- Bonjour Monsieur,

- Puis-je vous parler seule à seule

- Moi : Pourquoi ils doivent partir ?

- Inspecteur Cooper : Je ne pense pas que votre famille a envie d'entendre cette conversation.

- Moi : justement ne pensez pas, si vous avez des questions à me poser, vous le faites devant ma famille pas derrière.

La dame s'assit à ma droite et elle prit ma main, le jeune homme fit la même chose, l'inspecteur Cooper sorti son bloc note et il me dit :

- Te rappelles-tu la personne qui t'a kidnappé ?

- Non, je me rappel de rien...

- Ok, je vais te montrer des photos de personnes qui correspondent au profil, tu me diras si tu reconnais quelqu'un.

Il me donna un classeur avec pleins de photos et je commençais à tourner les pages du classeur, la dame fit signe à l'inspecteur de le suivre à l'extérieur de la chambre, Eden resta à côté de moi. Ma mère dit à l'inspecteur :

- Avez-vous du nouveau concernant le sniper qui a tiré sur ma fille ?

- Son talkie-walkie a été piraté, on a une piste.

- Ma Fille ne pourra peut-être plus jamais marcher, elle est amnésique et vous tous ce que vous me trouvez à dire c'est vous êtes sur une piste.

- Madame Stone, je sais que c'est difficile, mais je fais tout mon possible pour arrêter ses malfrats.

Eden ouvrit la porte de ma chambre et il leur dit :

- Drihanna a reconnu une personne.

L'inspecteur Cooper et ma mère rentra dans la chambre, j'avais eu une série de flash black en voyant la photo de Lei Stressing's, je me voyais derrière un guichet, cet homme souleva une poubelle et le jeta sur la vitre.

C'était trop intense, je tremblais. Eden me prit dans ses bras, je pleurai, Eden me dit :

- Calme-toi Drihanna, je suis là. Il ne va rien t'arriver.

- Moi : Il va revenir pas vrai ?

- Eden : Non, si tu racontes tout l'inspecteur, il ne pourra rien te faire.

Je regardai l'inspecteur puis je lui dis :

- Je pense connaître cet homme. Je lui montrai la photo de Lei Stressing's et je rendis le classeur à l'inspecteur Cooper, il me dit :

- Reconnais-tu d'autres personnes ?

- Non.

- Dès que j'ai du nouveau, je reprends contacte avec vous.

- Ma mère : Merci inspecteur.

Ma mère raccompagna l'inspecteur, j'étais toujours dans les bras d'Eden, Eden me dit :

- Je t'ai préparé une petite surprise

- Moi : mmm c'est quoi comme surprise ?

Eden reçu un message sur son portable, il se leva et ouvrit la porte, c'était huit filles et un garçon je les reconnu, elles coururent dans mes bras, je leur fis pleins bisous, elles racontèrent leur journée, j'étais la plus heureuse, je pris Kylian dans mes bras, je lui fis des bisous, il me dit :

- Tati Drih, je pensais que tu m'avais oublié.

- Kylian, je ne t'oublierai jamais.

Je le serrai dans mes bras, Kenny me raconta ses journées avec ses grands-parents, vers 16 heures, une infirmière entra dans ma chambre et elle leur dit :

- Je suis désolé mais les visites sont finies

- Kenny et les filles : Non,

- Moi : pouvez-vous nous accorder juste 5 minutes de plus ?

- L'infirmière : juste 5 min.

- Nous : Merci, merci, merci.

Les parents de filles et les grands-parents rentrèrent dans ma chambre, les parents de filles me serrèrent dans ses bras et les grands-parents me serrèrent la main. Les grands-parents de Kenny étaient très froids et distant, il me prit à part avec Eden, le grand-père me dit :

- Voilà Drihanna, ne le prenez pas mal, mais voilà je pense que Kylian ne devrait plus vous voir, il a besoin de remonter la pente et pour son bien. Ne prenez plus aucun contact avec lui.

- Moi : Je ne comprends pas....

- Eden : Je ne vous permets de parler comme ça à ma cousine

- La grand-mère : écoutez, nous sommes ses tuteurs et on veut le bien pour notre petit fils, alors ne prenez plus aucun contacts avec Kylian.

Je ne voulais plus rien entendre, je déprimai, Kenny était parti, il m'avait laissé sa peluche, Dodi, je le serrai contre moi.

Le lendemain

Je n'avais pas dormi de la nuit, même si ma mère et mon cousin étaient resté cette nuit pour me rassurer, je n'arrivai pas dès que je fermai les yeux, j'avais un flash-back très intense ou je voyais Lei Stressing's me torturé, j'étais assise une chaise, il me fit des coupures sur tout le corps.

Vers 10 heures du matin, une infirmière me porta mon petit déjeuner, je le mangeai sans envie. Je passais d'autres examens.

En retournant dans ma chambre, je vu pleins d'agent de policier et d'agent de sécurité, une infirmière m'aida m'installer sur mon lit, je ne comprenais pas pourquoi il y avait tout ça d'agent de sécurité devant ma chambre.

Un homme habiller d'un costume ultra chic fit son entrée, il prit ma mère dans ses bras et fit une accolade à mon cousin. Puis il s'approchait de moi et il me dit :

- Au nom du peuple français, je te désert la légion d'honneur pour ton courage et ta détermination.

Il me donnait une boîte dans lequel se trouva une médaille de légion d'honneur, un photographe nous prit en photo. Il resta quelque minutes avec nous puis il quitta l'hôpital je regardai Eden et je lui dis :

- C'était qui ?

- Pardi ! Le président de la république française.

J'étais super gêné, avec mon amnésique je rappelai toujours de rien. Le médecin préféra me garder deux semaine, je n'avais pas d'autres choix que rester encore cette nuit, Eden était sur son ordinateur, il travaillait. Ma mère était au téléphone.

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