POUVOIR sans le VOIR...

Chapitre 30 : Une nuit magique

Dans la peau de Drihanna - alias Miranda Snoke

Je le repoussai et courrai jusqu'au escalier avant même que j'arrive à la marche, je sentis quelqu'un me soulever et mettre sur son épaule. J'avais beau lui donner des coups sur son dos, mais rien il continua à marcher comme-ci de rien n'était. J'étais fatigué, j'arrêta de bouger, je me laissai transporter. On arriva dans un bureau, il me déposé sur le canapé et ferma la porte à clé. Super, j'étais piégé, je regardai autour de moi, je vus qu'il y avait un balcon et trois portes, l'homme du train prit une bouteille de whisky dans le mini et servit deux verre de whisky. Il me donna un verre de whisky et s'assit en face de moi, il me dit :

- Comment vous appelez-vous ?

- En quoi cela vous concerne ?

- Répondez !

- Je m'appelle Miranda Snoke et vous ?

- Giovanni Falconnerie

- Ah Sarafina, c'est votre sœur ?

- Oui, Pourquoi ma sœur vous appelle Drihanna ?

- C'est mon deuxième prénom.

- Retirer ce masque.

Je déposai mon verre sur la table basse et je retirai mon masque, je lui dis :

- Puis-je retourner auprès de mon ami ?

- Comment connaissiez-vous Didier ?

- Je l'ai croisé dans la rue.

- Stop, cessez vos mensonges.

- Ecoutez, ça n'a pas d'importance. Didier est mort et enterré. Prenez soin de votre sœur et oubliez cette histoire.

- Je regrette mais je ne peux pas.

- Dans ce cas-là, je ne peux pas vous aidez.

Je me levai et me dirigeai déjà vers la porte pour l'ouvrir, mais il me plaqua contre la porte, il me caressa le visage. Ses yeux fixèrent les miennes, je sentis son souffle se rapprocher dangereusement de mon visage, il passa son pouce sur mes lèvres. La seconde d'après ses lèvres écrasa les mienne. Je ressentis des frissons dans tous le corps.

Il mit ses bras autour de mes hanches, il me souleva et mit mes jambes autour de sa taille, j'encerclai mes bras autour de son cou. J'allai faire une folie mais tant pis. Tout en m'embrassant Giovanni se dirigea vers une chambre. Il me déposa sur le lit et s'agenouilla pour me retirer mes escarpins, je déboutonnai sa chemise, il ôta sa cravate. Il se tenait devant moi torse nu tel un dieu. Je me levai et je lui caressai ses pectoraux. Ses mains essayèrent de faire descendre la fermeture éclair, il n'y arriva pas, j'éclatai de rire et il me dit :

- Putainnnn quel est le con qui a créé une robe comme ça.

J'éclatai de rire, il avait l'air tellement furieux et sa respiration était saccadé, il me dit :

- Employons la deuxième méthode.

- Je présume la force ?

- Exacte cara.

Il se dirigea déjà vers la salle de bain, il ouvrit un tiroir de là ou j'étais, je l'entendis jurer, je sortis de sa chambre. Je me servis un deuxième verre de whisky pour m'encourager. Je bu encore un verre, je me sentis un peu pompette, mais ça a l'ai, je le vu sortir de la chambre et en me voyant assise sur le canapé. Il me dit :

- Plus jamais tu pars sans rien me dire.

Je souriais et je l'attirais vers moi, je l'embrassai. Il m'aida à me lever et il utilisa la paire de ciseau pour couper la robe, je me retrouvai en sous-vêtement devant lui, il me dit en italien :