Chapitre 27

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Le soir venu

Retour dans la peau de Brianna

Je me retrouvais dans cette camionnette avec Latifa, elle était assise et fixa le paysage et je lui dis :

- Pourquoi as-tu fais ça ?

- Pour la simple raison que Didier est mon patron.

- Latifa, écoute-moi. Didier est recherché dans plusieurs pays, il a commit plusieurs crimes. Ta famille te recherche, ils ont besoin de toi.

- Arrête de mentir, Ma famille est morte et Didier accepté de me recueillir.

- Didier t'a mentit, tes frères sont vivants, ils ont besoin de toi.

- Tait-toi, je sais que c'est faux. Tu es jalouse.

- Supposons que je sois jalouse, comment je sais que ton frère, Yanis te chantait des berceuses pour chasser tes cauchemars.

Latifa me fixa longuement, je vu dans ses yeux des larmes coulé, au même moment Didier freina brusquement, je pris la petite dans mes bras, elle arrêta de pleurer, j'essayai de la rassurer. Didier sortit de la voiture et je le vu en train de parler au téléphone, j'essayai de l'ouvrir mais rien. Latifa me dit :

- Yanis est toujours vivant ?

- Oui ainsi que Riad

- Ce n'est pas possible

- Je te jure, c'est la vérité. On peut les appeler si tu veux.

- Oui je veux bien.

J'envoyai un message groupé aux frères de Latifa, j'éteignis mon portable, je retirai la puce. Didier s'approcha de la camionnette, il ouvrit les portes latérales et m'attrapa par les cheveux et me fit sortit de force de la camionnette, on se dirigea vers un entrepôt désaffecté. On descendit les escaliers et il dit à Latifa :

- Va dans ta chambre.

- Bien patron.

Je vu Latifa partir, tout en me faisant un clin d'œil, je n'y prêtais pas attention. Didier me souleva comme un sac à patate. Je regardais autour de moi et je vu un groupe de fille au fond de la pièce, Didier me déposa sur une table un inox, il m'essaya de m'attacher les poignets, mais je me débattis, je lui donnais un coup pied au visage. Je me levais et je courrai mais Didier m'attrapa et me plaqua contre le mur. Il me fixa et il me dit :

- Princesse, tu crois partie où comme ça ?

- Lâche-moi.

Il me gifla et profita de me menotter les mains et il se dirigea vers la sortie. Il me dit :

- À mon retour, prépare-toi à souffrir comme jamais.

Je l'entendis claquer la porte, Didier était parti avec le groupe de fille. Mais il avait laissé une petite fille, j'essayais de trouver une solution. Les menottes étaient trop serrées. J'avais beau essayé de bouger mais mains, mais rien, j'entendis quelqu'un descendre, je levai les yeux et je vu Latifa avec des clés. Elle me détacha et elle me dit :

- Partons avant qu'il revienne.

- On ne peut laisser cette fille toute seule ?

- Rhaa, ce n'est pas notre problème. Allons-y !!

- Non, allons la libérer

- Tu ne changeras jamais Drihanna.

On se dirigea tous les deux vers la petite fille, Latifa lui retira les menottes, elle serra sa peluche, je lui retirai son bandeau et je lui dis :

POUVOIR sans le VOIR...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant