EDDIE X READER (reader féminin, désolée pour les personnes qui ne peuvent pas s'identifier)
!!! 1 chapitre tout les 2 jours à max. 19h !!!
Pour T/P, la vie est loin d'être parfaite pourtant, elle montre le contraire au point où ses amis ne se douten...
Je comprends pas pourquoi elle m'a rien dit et encore moins pourquoi elle a prit ce foutu sachet. Et puis pourquoi elle met autant de temps pour se changer ? J'ai beau l'appeler elle ne répond pas. J'ouvre la porte, les yeux entre ouvert, et je ne la vois pas. En revanche, la fenêtre ouverte attire mon attention. J'y crois pas, j'ai l'impression d'être avec une enfant que je dois surveiller. Je fonce dehors et grimpe dans mon van. Je ne sais absolument pas où est-ce que je dois la chercher. Si elle a caché qu'elle se droguait à une époque, elle ne doit certainement pas être chez quelqu'un du groupe. Il vaudrait mieux que je fasse le tour des environs, elle n'a certainement pas dû aller bien loin.
POV T/P
Ça doit bien faire quarante minutes que j'ai pris la drogue et environ vingt-cinq que je suis partie. Les effets se dissipent plus vite que d'habitude. Je me retrouve chez moi, dans ma vieille chambre, à broyer du noir. À coup sûr Eddie me cherche, je n'ai même pas mon talkie pour tenter de le contacter. Je peux toujours essayer avec le téléphone de la maison mais ça m'étonnerais qu'il me réponde. Je tape son numéro et attends, la première sonnerie, puis la deuxième et, enfin, j'entends sa voix.
- Salut Eddie, c'est juste pour te dire que j'arrive, je serais chez toi dans pas longtemps.
Eddie : Putain T/P, j'ai fait le tour en van et je t'ai pas trouver, j'ai cru qu'il t'étais arriver quelque chose.
- Je suis désolée, j'arrive dans pas longtemps promis.
Ma voix se brise à cette dernière phrase et je raccroche. Je sens les larmes coulées, foutue descente. Je commence à me mettre en route.
Quand j'arrive devant le mobil home, mes larmes n'ont pas cessé de couler. Il est là, en train de faire les cent pas juste devant chez lui. Je m'avance vers lui et il finit par me remarquer. On se prend dans nos bras.
- Je suis désolée, je suis tellement désolée, désolée...
Je sens mes pleurs redoubler et je le sers encore plus fort, plongeons mon visage sur son torse.
Eddie : C'est rien mais, ne fait plus ça, j'étais mort d'inquiétude. J'ai fais le tour et tu n'étais pas là, je suis rentré au cas où tu serais revenue et tu n'étais pas là. Tu as appeler au moment où j'allais repartir.
- Pardon, je sais pas pourquoi j'ai fait ça, j'ai pas réfléchi et ça s'est passé. Je te demande mille fois pardon, je ne le referais plus je te le promet.
Eddie : On ferait mieux de rentrer, tu dois te reposer.
On se détache et il me prend par l'épaule, me serrant contre lui, et on rentre ensemble. On va dans la chambre, je prends mon pyjama et pars me changer dans la sale de bain. Le sachet est encore sur le lavabo, je le jette dans la poubelle avec rage et me regarde dans le miroir. Je suis pâle, mes yeux sont rouges et gonflés. Je me rince le visage, espérant que mes larmes ne reviennent pas. On dirait une vraie gamine à pleurer comme ça. Je m'essuie et retourne dans la chambre où Eddie m'attendait, assis sur son lit. Je m'assieds à côté de lui et pose ma tête sur son épaule et il passe son bras autour des miennes.
Eddie : Comment tu as fait la connaissance de Rick ?
- Je ne sais plus vraiment, ça remonte à il y a trois ans. Tout s'est passé si vite.
Eddie : Il a dit que tu étais une cliente fidèle, ça veut dire que tu as beaucoup acheté ?
- Oui, sans que je ne m'en rende compte je suis devenue accro. J'en consommais beaucoup, j'ai arrêter il y a un peu moins d'un an. Un jour, je me suis levée et j'ai décidé de me reprendre en main. C'était dur mais, peu de temps après, il y a eu le flagelleur mental, je n'avais plus le temps de penser à la drogue.
Eddie : Pourquoi tu as pris ce sachet alors ?
- Je ne sais pas, je devais vraiment aller au toilette, je me suis laver les mains et le sachet...il m'a attiré. Je sais ça peut sembler bizarre mais c'était la dernière fois.
Eddie : D'accord, je suis content de connaître un peu plus de toi, dit-il avec un sourire tendre.
- Je t'aime Eddie, je t'aime comme je n'ai jamais aimer personne. Tu es tellement attentionné et gentil avec moi, avant même qu'on sorte ensemble.
Eddie : Je t'aime aussi T/P, vraiment fort. Je n'avais jamais ressenti ce genre de chose et, grâce à toi, je le sens. Je me sens aimé.
Après ces paroles on s'embrasse. Après une journée aussi éprouvante ça fait du bien. On s'éloigne et on reprends notre souffle.
Eddie : Ce n'est pas que je veuille gâcher le moment mais tu es encore en pleine descente, on ferait mieux d'aller se coucher. Cette journée était longue.
- Oui tu as raison, va te mettre en pyjama, je t'attends ici.
Il se lève, pose un baiser sur mon front puis part se changer. Pendant ce temps là, je vais fermer la fenêtre qui était encore ouverte. Je m'installe dans le lit et observe la guitare accrochée au mur. J'aimerai bien qu'il m'en joue. Depuis qu'on se connait, je ne l'ai jamais vu jouer. D'ailleurs, je ne suis jamais aller écouter leurs répétitions. Eddie revient enfin et se met à côté de moi, m'entourant de son bras en me rapprochant de lui. Je passe mon bras sur son ventre et ma tête dans le creux de son cou. On finit par s'endormir dans cette position. La soirée s'est finalement bien terminée, malgré quelques imprévus.
POV EDDIE
Le soleil qui entre dans la pièce me réveille. Je me tourne vers ma princesse, elle est si belle et semble si sereine comme ça. J'ai tellement eu peur hier mais, je suis content qu'elle m'ait parler finalement. J'aurai aimé être là pour elle plus tôt. Comment une fille géniale peut-elle avoir autant souffert ? Elle mérite tout le bonheur du monde. T/P ouvre tout doucement les yeux, encore légèrement rouge.
- Bien dormi ?
T/P : Comme un bébé, et toi ?
- Très bien, avec toi à mes côtés, je dors toujours très bien.
Elle me sourit tendrement et je me penche vers elle pour l'embrasser. On finit par se lever et nous préparer. Pas le temps de déjeuner sinon on va arriver en retard.
On arrive devant le lycée et tout le groupe est là. On arrive vers eux et ils nous disent qu'on doit y aller, je ne sais pas trop où on va mais je suis la voiture de Steve juste devant. Je fini par reconnaitre la rue où habitent les Wheeler. On arrive dans le sous-sol quand quelqu'un se décide, enfin, à prendre la parole.
Nancy : Je sais comment aller voir Victor Creel.
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1157 mots.
Au moment où je poste ce chapitre, j'ai fini d'écrire l'histoire ! J'ai commencer un autre EddiexReader que je posterai quand "He Saved Her" sera terminé ! Le résumé est sur mon insta :
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