Chapitre 28

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Pdv Omniscient:

Pendant ce temps dans la petite ville de l'Etat de Washington, tout allait pour le mieux. Le départ surprise de Isabella vers l'Italie fur l'occasion de souffler pour toutes les personnes forcées de la côtoyer. Charlie pût se reposer et penser un peu à lui. Il prit la décision que dès que Isabella serait de retour, il l'a renverrait chez sa mère qu'elle le souhaite ou non. Charlie avait d'ores et déjà discuté avec Renée qui était d'accord avec lui. Isabella retournerait de manière définitive à Jacksonville et elle y resterait. Charlie savait que dans tous les cas, Isabella ne l'aimait pas, ne le respectait pas et ne le voyait pas comme son père donc à quoi bon s'obstiner ? 

Erato quant à elle était reconnaissante de la décision de son père. Elle aurait enfin l'occasion de pouvoir profité de son fiancé sans avoir à se coltiner Isabella qui cherche à les séparer, ou encore toutes ses tentatives vaines de s'incruster dans le manoir où vivent les nouveaux arrivant Cullen et Erato.

Du côté de Arthur et Leah, tout se déroulait pour le mieux. Les Ainés des Quileutes ont décidé de donner leur accord pour que les deux jeunes gens puissent se voir aussi bien à la réserve qu'ailleurs. Alors, maintenant qu'ils avaient obtenus la bénédiction des plus âgés, les deux jeunes amants apprirent à se connaître, à leurs rythmes, sans se brusquer. 

Pour Angela et Clarence, un climat de jeune couple régnait. Ils étaient fou amoureux, passionnés, limite flippant, enfin rien d'anormal pour un jeune couple. Malgré cela, ils étaient en symbiose, comme si ils étaient habités par le même parasite, en l'occurrence l'amour, quel parasite alléchant !

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Alors quelques jours plus tard, lorsque Isabella, Alice et Edward atterrirent à Forks, c'était un Carlisle en colère, une Esmée dépassée et un Charlie excédé qui leur servirent de ponton d'accueil ! Quelles chaleureuses et festoyantes retrouvailles me direz vous ! Et bien vous ne croyiez pas si bien dire ! Isabella ne s'attendait certainement pas à voir son père biologique l'attendre à l'aéroport avec une valise et un billet aller simple pour l'Arizona ! Et oui, la plouc retournait enfin avec sa mère ! Alors s'en suivit évidemment le tapage de pieds, la crise de colère, les larmes de crocodiles mais aussi bien sur les insultes ! La Planète entière en prit pour son grade et Isabella n'avait pas finit! Alors que Edward tentait de convaincre ses parents de contrer la décision du chef Swan, ces derniers ne entendirent pas de la même oreille !

Esmée: Comment ça empêcher le chef de la Police de renvoyer sa fille chez sa mère ! Pour qui nous prends tu Edward ! Nous n'avons aucun droit de regard sur la manière dont Chef Swan s'occupe de sa fille colérique !

Carlisle: Je pense que Charlie à été suffisement patient avec Isabella et que cette fugue dans un autre pays, alors qu'elle est mineure, sans papiers en règles, c'est vraiment la goutte d'eau. Et je le comprend ! En ce moment tu es toi même tellement inherable que l'on ne peut rien te dire. Il faut toujours faire comme toi tu veux, quand tu le veux et aller où tu veux ! Et bien mon garçon laisse moi te dire que cette crise d'adolescence a bien trop duré ! Ta mère et moi, allons te renvoyer chez tes cousins en Alaska. Et toi Alice ne croit pas que tu vas te tirer comme ça ! Qu'est-ce qui vous prends à partir comme ça dans un autre continent ! Vous nous avez tous mis en danger ! On va en rediscuter en rentrant ! Vos actes ne vont pas rester sans conséquences soyez en sûre ! Sur ce Charlie, on vous souhaite beaucoup de courage, on va s'occuper de ces deux là et leur donner de quoi réfléchir !

Sur ces mots, les deux pères de familles se serrèrent la main et partirent tout deux chacun de leur côté.
Comme vous pouvez le deviner, il fallut pas moins de deux agents de sécurité en plus de Charlie pour faire monter dans l'avion Isabelle. Cette dernière hurlait de toute ses forces en répétant que [Charlie] n'avait pas le droit de lui faire ça, qu'elle essayerait de le respecter si il l'a laissé rester et que de toute façon il n'était qu'un bon à rien. En tout cas la parfaite fille me direz vous !

Bien sur, Edward le gothique, Edward le dark, Edward le rebelle n'écouta pas ses parents adoptifs et décida de louer une chambre près de la maison de la mère de Isabella et d'y vivre jusqu'à ce que bon lui semble ou que quelqu'un vienne le traîner jusque Forks par la peau des testicules.

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Du côté de notre belle rousse, tout allait à merveille. Et alors qu'elle était à son bureau en train de travailler, Angela entra dans la pièce.

Angela: hey, je viens d'aller au courrier, tu as reçu plusieurs lettres je te les pose là. Rosalie va t'apporter un thé d'ici une dizaine de minutes !

Erato: Vous êtes des amours ! Merci !

Erato attrapa les lettres et regarda les endroits d'expéditions et les noms des destinataires.

Bo-Ra en Corée du Sud, Salim en Australie, Sarah en Allemagne, mais une lettre ne ressemblait pas aux autres de la pile. Elle était d'une enveloppe ornée de dorée en provenance d'Italie à un nom que seul Erato pourrait reconnaître. Matteoti Volterra. Le nom de code qu'elle avait demandé à ses fils adoptifs d'utiliser si un jour ils devaient la contacter par lettre postale. Alors délicatement, elle ouvrit l'enveloppe et déplia les feuilles de papier. Il y en avait sans mentir au moins une dizaine et la jeune femme se demandait comment elles avaient pu toutes rentrer dans l'enveloppe. Alors elle les lu toute. Une à une, en rigolant, pleurant et avec beaucoup de nostalgie. Toutes ces personnes qui lui avaient écrites ne l'avaient pas oublier. Malgré son départ elles ne l'avaient pas effacé de leurs mémoires. Alors elle prit son téléphone et rentra le numéro marqué en bas de la dernière lettre.
Cela sonna, une fois, deux fois, puis plus rien jusqu'à ce qu'une voix dit à l'autre bout du fil,

??? : Pronto ?

Erato: Ciao figliolo. Come stai?

??? Madre, che piacevole sorpresa sentirti!

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D'apparence simpleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant