Un virus du nom de la braise s'est propagé dans le monde entier, réduisant l'espèce humaine en mangeur de chair, appelée les fondus.
Le World In Catastrophe: Killzone Experiment Department, plus connu sous le nom de W.I.C.K.E.D, fait tout son poss...
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« The last city. » _________
Flashback 7 mois plus tôt.
Ça fait une semaine que je mets ce plan en place pour qu'il n'y est aucun problème. Je dois faire sortir Minho d'ici, retrouver le reste de l'équipe et élaborer un nouveau plan pour sauver le reste des jeunes retenus par ma mère.
Lorsque j'ai suivi ma mère dans le berg, j'avais encore mon pass avec moi. Quand j'ai compris qu'elle ne tiendrait pas sa promesse de tenir mes amis en dehors de tout ça, je l'ai caché précieusement avant de savoir quand j'allais élaborer mon plan.
Je prends une grande inspiration, c'est soit ça passe, soit ça casse et je suis dans la merde complète. Ma mère est clémente avec moi, pour le moment. Elle ne me traite pas comme elle traite les autres. Ce qui me donne un sacré avantage pour le moment.
C'est à dire que la porte de ma chambre est actuellement ouverte. Les gardes ne viennent faire la ronde que dans une heure donc c'est le moment parfait. Je me faufile discrètement dans le couloir menant à la chambre de Minho qui se trouve dans la même partie que moi.
Je sors la carte de ma poche, je jette un rapide coup d'œil autour de moi avant de la passer devant le mécanisme à côté de la porte du garçon. Celui-ci clignote en vert avant de s'ouvrir. Minho est allongé sur son lit, les yeux fermés.
— Minho !
Je m'approche de lui pour le secouer afin de le réveiller. Ses yeux s'ouvrent brusquement, il se redresse et me pousse contre le mur derrière moi, d'une façon tellement brutale, que je retiens un cri de douleur.
— Qu'est-ce que tu fous ici ? Il me demande, sans me lâcher.
— Je viens nous sortir de là.
Un rire amer quitte ses lèvres et je lui présente la carte que j'ai dans mes mains alors qu'il me lâche doucement.
— C'est notre seul moyen de sortie. Je sais que tu ne m'aimes pas et je comprends totalement. Mais si on ne sort pas d'ici, ils vont nous torturer jusqu'à ce qu'on soit trop fatigué pour lutter.
Il n'arrête pas de faire les cent pas devant moi, réfléchissant sûrement à ce qu'il doit faire. Me suivre ou rester ici ?
— Il faut qu'on se dépêche si on veut s'enfuir.
Le garçon finit par s'arrêter en face de moi et un soupir traverse ses lèvres.
— Ok. Je te suis. Mais je ne te fais pas confiance pour autant.
Je ne réplique pas et je passe devant lui pour sortir de la chambre. Je vérifie quand même qu'il n'y est personne et j'avance doucement vers le premier ascenseur.
