Sentiments naissants

L'arrivée des renforts

Nous arrivions enfin au lieu de la bataille et ce qu'on vit sans que personne ne nous voit nous donna courage car personne pourrait nous vaincre avec l'armée des morts à nos côtés. On saura Legolas, Gimli et moi en même temps en courant vers les champs de bataille. Au début nos ennemis étaient confiant nous voyant arriver qu'à 3 mais fut bientôt intrigué par ce qui venait de derrière nous. Ils ne s'attendaient pas à ça. Cela nous donna l'avantage. On combattit avec facilité mais un olifant me pris par surprise et me balança assez loin. J'essayais de me relever sans succès.

PDV de Legolas:

Tout en combattant je faisais le compte du nombre de tuer de mon côté pour gagner ce défi de meilleur combattant lancé encore par Gimli. Je me mis à m'occuper d'un olifant que je tuais sans grande difficulté et terminais en glissant de sa trompe pour rejoindre le sol. Gimli m'ayant vu s'écria:

- Ca ne compte quand même que pour un.

Avec l'armée qu'on avait réussi à enrôler au combat la victoire fut très rapide. Je regardais autour de moi. Je vis Eowyn en pleur en tenant Théoden dans ses bras mais tout à coup je fronçais les sourcils. Je ne vis aucune trace de ma moitié. Je me mis à courir pour le trouver. Je finis par le voir et le prenais dans mes bras.

- Aragorn, murmurais-je. Ne me laisse pas je t'en pris.

Je l'embrassais discrètement et il se mit à reprendre conscience.

PDV d'Aragorn:

Je rouvrais les yeux et observais où j'étais avec Legolas au dessus de moi. Je m'aperçus que j'étais encore sur le champ de bataille mais que celle-ci était terminé et les soldats étaient contents de cette victoire. Je souris un peu. Je me remémora ce qu'il venait de se passer et compris.

- Comment tu te sens?, me demanda Legolas
- Je me sens bien, répondis-je

Je voulais me lever mais titubais un peu. Legolas me soutenu le temps que je recouvre mes esprits. On était les yeux dans les yeux. Plus personne n'existait pour nous à ce moment là. Une fois que je me sentis vraiment mieux on alla voir Gimli.

- Ah vous voilà tout les deux, râla Gimli. Je me demandais où vous étiez
- On n'a pas bougé Gimli, répondis-je en souriant

Je vis l'armée des morts plus loin. On alla à leur rencontre.

- Libérez nous, dit le roi des morts
- Moi je dis qu'on devrait les garder, dit Gimli. C'est pratique comme renfort
- Je considère votre serment accompli, dis-je solennellement. Allez soyez en paix

Ils s'évaporèrent suite à ma dernière phrase. On prit du repos bien mérité.