Chapitre 28

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Pensée de Bakugo :

Après de longues minutes interminable à marcher dans la boues, les cadavres ennemis et alliés et d'écouter les hurlements de douleurs, les supplices et les épées de fer qui s'entrechoquent.
Nous parvenons enfin hors du champs de bataille, nous arrivons devant un mur de files barbelés, c'était le signe que nous étions à la frontière et qu'après ce mur nous serions en territoire ennemis...

La fille nous regarde un instant puis nous fit signe de nous taire et s'en rien rajouter elle nous tire vers un mini chapiteau, de couleurs blanche, je n'eu aucun mal à remarquer que la fourrure utiliser pour faire le chapiteau était celle d'un ours polaire. Je lâche un soupire de mécontentements, que la fille entendit malheureusement, elle me lance un regard noir, signe que je devais être silencieux, si je ne voulais pas mourir. Je détourne le regard en levant les yeux au ciel, ennuyé qu'elle réagisse ainsi, pour un simple soupire, mais j'obéis et ne rajoute rien à part un silence froid.
J'aurai aimé que Eijiro vers moi mais ce dernier est rester silencieux pendant tout le chemin... Était-il encore en colère contre moi ?

Soudain, un homme à la carrure imposante sortie du chapiteau, il regarde la fille se trouvent face à lui puis détourne le regard vers nous. Il la regarde confus et amusé en même temps... C'était possible de faire les deux ? Et bien pour lui, oui.

- Qui est-ce ? Demande t-il sans grande conviction, comme habitué par les manies de cette fille.

- Ce sont des prisonniers ! Déclare t-elle avec un ton enthousiaste, comme si nous étions un trophée.

Il lâche un soupire amusé et tourne le regard vers nous, intrigué. Mais avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, un homme à la carrure tout autant imposante et des vêtements prestigieux fit son entrée derrière l'homme. La fille et l'homme se mette au garde à vous. Cet homme était d'un rang bien supérieur que ces deux là. Je retiens mon souffle, si ces deux là, était terrifié de le voir, alors étrangement, j'angoissé de la suite.

- Tsu, combien de fois, vais-je devoir me répéter, nous n'avons pas besoin de prisonniers...Souffle t-il lassé, en s'approchant de la jeune fille.
La fille baisse le regard un instant avant de le relevé, sourire au lèvres.

- Personne ne veux jamais s'amuser avec moi, eux ils acceptent toujours. Je peux faire mes tests et les torturés sans que vous ne soyez en colère que j'ai touchée aux peuples. C'est bien nan ? Déclare la dite Tsu, en accompagnement ses mots d'un tete de chiot battus, pour amadouer son commandant. Qui à la déclaration de la fille lâche un soupire.

- Et qu'ont-ils de spécial ces deux là ? Demande t-il en nous scrutant du regard.
Tsu nous regarde un instant en pleine réflexion.

- Celui avec les cheveux rouge est un dragon de couleur rougeâtre, ce qu'il fait de lui un type de dragon assez rare, avec ses écailles je pourrais créer des potions incroyable. Pour le petit blond, son espèce ne me disait rien au début mais je crois qu'il fait partie du peuples hybrides que le froid à détruis. Déclare t-elle avec sincérité.

Comment avait-elle deviné ? A part pour Eijiro comment avait-elle deviné pour moi. Je la regarde surpris, elle me lâche un simple sourire amusée.
Je sens le regard inquiet de Eijiro se poser sur moi alors que le commandant s'approche dangereusement de moi, avec un regard intrigué. Il attrape mon menton pour m'obliger à le regarder. Je lui lance un regard noir accompagné d'un grognement, cette action me fait passer pour un vulgaire chien, mais j'en avais rien à faire.
Il me lâche le menton amusé et se tourne vers la fille.

Un simple pacte... /Tome 2/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant