Le passé va dans le futur

Chapitre 5 : Premières vérités

 Nous étions le lendemain matin, tous les élèves étaient regroupés dans la Grande Salle pour le petit déjeuner. Les élèves mangeaient gaiement, tandis que les maraudeurs eux, n'avaient toujours rien mangé trop occupé à essayé de comprendre ce qui se passer ici. Ils ne comprenaient pas pourquoi ils n'avaient pas le droit d'utiliser la magie en D.C.F.M et surtout ils ne comprenaient pas le comportement qu'avaient les élèves envers Harry. Car depuis qu'ils étaient ici, ils avaient vu que, où qu'aille Harry, tout le monde le regarder avec un air de dégoût et de méchanceté pour certain et d'autre de curiosité, comme on l'aurait fait pour une bête de foire. Et il était temps qu'ils aient enfin des explications pour tout cela. Alors, Liera engagea la conversation :

- Nous voulons savoir plusieurs choses, premièrement pourquoi nous ne faisons pas de magie en cours.

Hermione réfléchit pendant plusieurs secondes puis déclara :

- C'est d'accord, mais allons plutôt en parler dans la salle commune, il y aura moins de monde et nous aurons tout le temps d'en parler puisque nous ne commençons pas avant dix heures.

D'un commun accord, ils décidèrent donc de petit déjeuner à la hâte afin d'aller dans la salle commune pendant qu'elle était encore vide. En à peine quelques minutes, ils avaient fini le repas et se dépêché de sortir de la Grande Salle tandis que les autres profiter pleinement de leur petit-déjeuner. Lorsqu'ils arrivèrent dans la salle commune, ils s'assirent sur le canapé à côté de la cheminée, tandis que Liera et Hermione vérifier si la salle commune était entièrement vide. Lorsque cela fut fait, Hermione prit la parole :

- Tout d'abord, il faut que vous sachiez que le professeur Ombrage pense que nous formons une armée, enfin elle, mais surtout le ministre, c'est pourquoi il nous empêche par l'intermédiaire du professeur Ombrage de faire de la magie, dit Hermione.

- D'accord, mais pourquoi il pense que vous préparez une armée ?

- Hé bien, disons qu'après cet été le ministre pense que Dumbledore veut s'emparer du ministère, il a peur qui lui prenne son poste de ministre.

- Ce qui est faux, tout le monde le sait, car pendant des années il a toujours refusé lorsqu'au ministère on lui demandait d'être ministre, répondit Ron.

- Mais que s'est-il passé pendant l'été pour que le ministre traite Dumbledore comme ça et qu'il ait peur de lui ? Demanda Liera.

Harry, qui jusque-là n'avait pas parlé, prit la parole.

- Il ne s'est rien passé, compris vous m'énervez avec ça, dit Harry qui était en colère.

- Pourquoi tu t'énerves comme ça ? On n'a rien dit de mal, on trouve tout ça bizarre, c'est pourquoi on pose toutes ces questions, demanda Remus.

- Ho pour rien, laissez tomber vous n'avez rien d'autre à nous demander ? Demanda Ron.

- Si on voulait savoir pourquoi tout le monde regarde Harry si bizarrement et pourquoi la gazette raconte des choses si horribles sur lui et Dumbledore, demanda Liera, qui l'avait lu le matin même et était tombé sur un article horrible concernant Harry et le directeur.

- Raconte leur Harry, de toute façon ils doivent être au courant, bien que tu dois trouver ça étrange que pour une fois des personnes ne savent pas qui tu es, dit Hermione soucieuse.

Hermione, elle-même trouvait bizarre que ces personnes ne sachant rien sur Harry. Ils ne lui inspiraient qu'à demi confiance et elle se promit de les surveillé afin de voir pourquoi ils étaient la réellement même si Dumbledore en pleine confiance l'avait nommée pour s'occuper d'eux.

- Hum d'accord, je vais vous dire ce qui s'est passé cet été, dit Harry.

Il commença à inspirer profondément et une fois près à parler il commença à raconter ce qui s'était passé.

- Comme vous le savez déjà Voldemort depuis 13 ans avait disparu , (il ne fit pas attention au sursaut que ses amis avaient fait en entendant prononcer ce nom.)

L'année dernière lors du tournoi des trois sorciers, Cédric (et il prononça son nom avec beaucoup de difficulté),et moi avons été projetés dans le cimetière des Jedusort, en attrapant la coupe des trois sorciers qui s'est avérée être un portoloin. Dès lors que nous avons atterri, la chose qu'était Voldemort ordonna à Pettigrow de lancer un sortilège de mort sur Cédric,(les maraudeurs eurent un sentiment désagréable en entendant le nom de Peter, mais ils n'en connaissaient pas la cause puisque se nom ne leur disait rien grâce au sort de Dumbledore), puis à cause de moi Voldemort a pu reprendre une forme humaine grâce à mon sang, que Pettigrow avait fait couler.

Il s'arrêta un court moment, reprenant ses esprits, puis il reprit son discours :

- Le ministre ne nous a pas crus, Dumbledore et moi quand nous affirmions qu'il était de retour et il a surtout peur de nous croire, car cela voudrait dire que la guerre contre le plus grand mage noir va recommencer. Et c'est à cause de ça que le ministre pense que Dumbledore veut prendre possession du ministère et c'est pourquoi ils veulent faire croire grâce à la gazette des sorciers que Dumbledore et moi nous avons plus toute notre tête.

- Mais c'est horrible, pourquoi ils s'en prennent à vous deux, ils devraient vous êtres reconnaissants, et tu n'y es pour rien s'il est de retour ce n'est pas de ta faute, dit Liera.

- Mais je ne comprends pas quand tu dis qu'il a disparu, pourquoi il a disparu tant de temps et pourquoi tu dis qu'il est revenu sous forme humaine grâce à ton sang ? Demanda Remus.

- Il a disparu il y a 14 ans, mais il est de retour maintenant, raconta Harry.

- Que s'est-il passé il y a 14 ans pour que tu saches qu'il a disparu puis réapparu? demanda Jimmy.

- Il y a quatorze ans, on pensait qu'il avait été vaincu, mais je n'ai pas envie d'en parler, dit Harry ne voulant surtout pas penser à la mort de ses parents.

- Bon ça suffit maintenant, vous avez posé assez de questions on doit allez en cours de sortilège maintenant, dit Hermione.

Au fur et à mesure qu'ils avaient parlé, la salle commune avait été envahie par un va-et-vient d'élèves qui venait chercher leur cours, à chaque fois ils avaient dû faire attention à ne pas se faire entendre. À présent, ils partirent d'ici, les maraudeurs, malgré les explications données, toujours intrigués par ce qui se passait ici. Quelques minutes plus tard, ils avaient rejoint le couloir du deuxième étage et entrèrent dans la classe de sortilège, où les élèves étaient en train de s'asseoir, répondant à l'ordre de leur professeur.

Bonjour tout le monde, et voilà un nouveau chapitre. Désolé, j'ai complétement oublié de le publier hier. Aller, pour me faire pardonné, je publie le prochain maintenant. Bonne lecture.