Chapitre 8 : Décret et Forêt Interdite

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 Le lendemain matin, ils s'étaient tous réveillés tard dans la matinée après avoir joué des heures ensemble la veille. Il était déjà dix heures et les amis s'étaient regroupé dans la salle commune afin d'attendre que tout le groupe y soit afin de partir ensemble prendre le petit déjeuné.

Tandis qu'ils étaient en train de marcher dans les couloirs afin de prendre le Grand Escalier, un groupe d'élèves arriva à leur rencontre. Ils demandèrent à parler seulement au trio, car Zacharias Smith, qui était avec le groupe d'élèves n'avait toujours pas confiance des nouveaux. Ces derniers décidèrent donc de partir en laissant le trio et quelques minutes plus tard ils étaient arrivés dans la Grande Salle. Entre temps, ils ne s'étaient pas rendu compte que Rusard était en train de clouer quelque chose contre le mur du Grand Hall.

Une quinzaine de minutes plus tard, ils virent le trio venir dans leur direction, mais leur expression avait changé depuis qu'ils les avaient laissés dans les couloirs. Ils étaient très furieux et Hermione semblait inquiète. Tandis qu'ils s'asseyaient avec les autres, Ron leur dit en colère :

- C'est impossible ! Elle ne peut pas faire ça.

- Faire quoi ? demanda Liera.

- Eh bien, le Ministère a prononcé un décret qui stipule que nous ne pouvons pas faire de groupe ou de club, dit Harry.

- Ce n'est pas une coïncidence ! Elle sait quelque chose, raisonna Hermione.

- Je vous l'avais bien dit, on va tous se faire renvoyer ! On devrait arrêter, suggéra Liera, anxieuse.

- Il n'en est pas question ! Je ne veux pas arrêter d'enfreindre le règlement, c'est excitant !

- Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait à Hermione Granger ? Demanda Ron surprit.

Durant le trajet qui menait à la salle commune de Gryffondor, Jimmy demanda au trio de quoi ils avaient parlé avec les autres élèves. Hermione leur répondit qu'ils leur avaient demandait s'il y avait un moyen de savoir si les professeurs découvraient leur secret et Smith avait insisté pour que les nouveaux n'écoutent pas parce qu'il pensait qu'ils allaient tout rapportait à un professeur. Samuel en colère, répondit à Hermione qui si Smith continué ainsi il se retrouverait bientôt avec le nez en sang.

Arrivé dans la salle commune, ils allèrent dans leur dortoir afin de s'habillé plus chaudement pour aller dehors.

Étant donné qu'il était dimanche, les élèves n'avaient pas cours et ils pouvaient faire tout ce qu'ils souhaitaient. Ils profitèrent donc du temps encore ensoleillé malgré le froid et donc ils passèrent la majeure partie de la journée dehors à parler de tout et de rien et surtout de l'armée de Dumbledore et ce qu'ils pourraient faire contre cette horrible Ombrage. Il était seize heures lorsque les maraudeurs ainsi que le trio se retrouvèrent dans la salle commune qui était vide.

Jimmy murmura à l'oreille de Harry :

- Il y a un endroit que je n'ai toujours pas visité : la Forêt Interdite. Peux-tu m'y emmener ? Je sais qu'elle est interdite, mais je suis sûre que nous ne craignons rien là-bas.

Harry hésita une seconde puis lui répondit :

- D'accord, mais on ne le dit à personne et nous n'y allons que nous deux. Personne d'autre, c'est bon ?

- OK, pas de problème.

- Viens, suis-moi dans le dortoir, il n'y a personne.

Jimmy et Harry arrivèrent dans la chambre des garçons et, devant le lit de Harry, celui-ci lui dit :

- Nous allons dans la Forêt Interdite avec un objet et tu dois n'en parler à personne, compris ?

- Oui, c'est compris, dit-il se demandant de quel objet fameux Harry voulait parler.

Harry ouvrit sa valise et prit sa cape argentée. Il la passa sur lui ainsi que sur Jimmy et ils devinrent invisibles. En la voyant, Jimmy s'exclama:

- Une cape d'invisibilité ? Mais c'est un objet très rare ! Comment l'as-tu eue ?

- Oui, c'est vrai, mais je n'ai pas le droit de dire qui me l'a donnée, déclara-t-il.

- OK, alors on y va.

Sans que personne ne les voient, ni même Hermione qui se demandait bien où Harry était passé sachant qu'il se trouvait à côté d'elle il y a quelques minutes à peine, ils descendirent le Grand Escalier et sortirent du Grand Hall pour aller dans la Forêt Interdite. Les deux garçons arrivèrent enfin à la lisière de la forêt tant redoutée.

- Bon, nous y sommes. Il ne faut pas qu'on reste longtemps ici. Si jamais on se fait prendre, on est sûr d'être renvoyé tout de suite.

- Oui, c'est certain que tes parents ne seraient pas très contents si tu te faisais renvoyer. Mais, au fait, pourquoi tu ne parles jamais de tes parents ? Demanda-t-il.

Le visage de Harry changea tout à coup, il avait vraiment l'air triste et ne répondit pas. Jimmy ne comprenait pas ce qu'il avait, il sortit une photo de sa poche et il dit :

- Je t'ai pris cette photo tout à l'heure, elle est tombée lorsque tu as attrapé ta cape. Je voulais te la donner, mais on est parti trop vite.

- Eh ! rends-moi ça ! Personne n'a le droit d'y toucher, dit Harry en s'énervant.

- Arrête, t'énerve pas. J'allais te la rendre. Ce n'est qu'une photo après tout.

- Pour moi, non, c'est bien plus. Tu ne peux pas comprendre. Dessus, il y a mon père et mon parrain.

- C'est bon, je te la rends, mais peux-tu m'expliquer pourquoi tout le monde te connaît et aussi, pourquoi tu ne parles jamais de tes parents ?

James avait pensé qu'en prenant cette photo, cela l'aiderait peut-être à avoir des réponses à ces questions et en un sens il avait réussi.

- Bon, c'est d'accord. Mais je ne répondrais qu'aux questions que tu me poseras, car je ne peux pas tout te raconter, c'est trop dur pour moi.

- D'accord, nous reparlerons de tout ça demain soir, car nous avons cours toute la journée.

Et comme il était déjà tard, ils décidèrent de rentrer. Puis ils allèrent se coucher sans laisser la possibilité à Hermione de demander à Harry ce qu'il avait fait pendant ces plusieurs heures où il avait disparu sous ses yeux.

Le lendemain, les cours passèrent vite et pour les voyageurs ils n'avaient aucune importante, seules les réponses d'Harry le serait à leurs yeux. Ils étaient dans la salle commune où personne ne pouvait les écouter sans qu'ils s'en aperçoivent, car il était déjà vingt-deux heures.

Et voilà un autre chapitre. J'ai ré-écrite l'histoire en 2015, c'est à dire il y a un petit moment et il peut y avoir des endroits qui pourraient être amélioré, cependant, j'ai voulu la laisser tel qu'elle, afin de voir les progrès que j'ai fais avec mes histoires. Toutefois, si vous voyez vraiment trop de fautes, de choses qui pourraient être changé, dite le moi. Au week-end prochain pour deux nouveaux chapitres. Bonne lecture. 

Le passé va dans le futurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant