Le lendemain de l'attaque, de grands pas venant de la Grande Salle et s'approchant du groupe les réveillèrent. Il était à peine sept heures et tandis qu'ils se levaient, ils se rappelèrent en voyant le tas d'élèves couchés au sol ce qui s'était déroulé la veille. Ils se demandèrent qui avait bien pu les réveiller à cette heure-là et en eurent la réponse lorsqu'ils virent que le professeur Dumbledore se trouvait à côté d'eux.
- Hum ! Quoi ? On part déjà ? Cria Ron dans un demi-sommeil.
- Moins fort monsieur Weasley, il n'est que sept heures pas besoin de réveiller tout le monde. Je voulais que vous me suiviez tous, pour que je vous parle sans que personne n'entende ce que j'ai à vous dire.
Il leur fallut quelques minutes avant que tout le monde ne soit levé. Lorsque cela fut fait, ils suivirent Dumbledore qui les amenait dans un coin, à l'abri des regards. Tandis qu'ils les suivaient, certains comme Peter ou James marmonnaient qu'il était bien trop tôt pour se lever. Ron quant à lui, continuer de dormir à moitié. Enfin lorsqu'ils furent tous assis dans le coin choisi par Dumbledore, celui-ci se mit à leur parler :
- Bien ! Alors, je vous ai réveillé avant les autres pour vous poser une question. Est-ce que certains d'entre vous savent où ils vont passer leurs deux semaines de vacances ? Demanda-t-il en regardant tout le monde sauf Ron qui lui, savait déjà où aller.
- Heu ! Et bien pour tout vous dire, non ! On n'y a pas du tout pensé, avec tout ce qui vient de se passer on a complètement oublié, répondit Lily affolée.
- C'est bien ce qu'il me semblait. Alors tous les cinq vous allez au QG, ne me demandez pas ce que c'est, on vous l'expliquera lorsque vous y serez. Et ne vous en faites pas, il y aura assez de personnes pour s'occuper de vous. Quant à vous miss Granger j'ai expliqué la situation à vos parents et vous y allez vous aussi.
- Excusez-moi, mais pourquoi suis-je obligée d'aller au quartier ? Je ne rentre pas chez moi ?
- Ho ! Ne vous inquiétez pas Miss, j'ai demandé à vos parents s'ils veulent que vous rentriez chez vous ou si vous pouviez rester avec vos amis. Et ils ont compris que c'était mieux pour vous d'être entouré de vos amis, et qu'ils seront heureux de vous revoir une autre fois.
- Ha ! D'accord, je comprends mieux maintenant.
- Bien passons à Harry, toi aussi tu vas au quartier général, car je suppose que ton oncle et ta tante eux, préfèrent que tu ne rentres pas.
- Oui c'est vrai, je serai beaucoup mieux au quartier général.
- Allez, il est sept heures et demie, maintenant vous pouvez aller chercher vos vêtements, la salle de métamorphose a été changée spécialement, enfin vous verrez par vous-même. À huit heures j'irais réveiller les autres et à neuf heures nous irons tous manger et à dix-heures, vous partirez tous.
Dumbledore partit, tandis que les autres lui disaient au revoir. Ils sortirent de la Grande Salle sans faire de bruit pour ne pas réveiller leurs camarades. Lorsqu'ils sortirent de celle-ci, ils s'aperçurent que le Grand Hall était rempli de valises. Ils durent donc trouver leurs valises et ils mirent pas moins de dix minutes pour arriver à le faire. Ils se choisirent des vêtements moldus puisqu'ils allaient prendre le train et mirent le tout avec une serviette dans leur sac.
Enfin, ils se dirigèrent vers la salle de métamorphose et lorsqu'ils y pénétrèrent, ils virent qu'effectivement la salle avait été transformée, elle ne ressemblait plus à une salle de cours. La salle pouvait accueillir plus de quatre cents personnes tellement elle était grande.
Elle était partagée en quatre, deux parties pour les filles et deux autres pour les garçons. Il y avait cent cinquante cabines dans chaque vestiaire, pour pouvoir se laver et aussi cent cinquante cabines dans les quatre vestiaires pour pouvoir s'habiller. Ils commencèrent à se déshabiller et ils allèrent tous dans une cabine différente...
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Le passé va dans le futur
FanfictionEt si les Maraudeurs et Lily Evans remontaient le temps ? Et si Harry revoyez ses parents vivants, à son âge ? Après un autre méfait, les Maraudeurs se retrouvent dans le futur, dans une réalité qu'ils n'auraient jamais imaginé. Mais le passé doit r...