Chapitre1️⃣8️⃣

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Pdv Eijiro(Ça fait Longtemps)

Je m'inquiète pour Izuku, mais je n'ai pas le droit d'aller le voir. Ou du moins pas après ce que j'ai fait.

Je n'aurai pas dû lui dire tout ça, surtout je n'aurai pas dû le blesser de la sorte en sortant avec Denki, en plus je ne l'aimais même pas autres qu'en ami.

Ça fait trois semaines que je pense à ça, depuis que Katsuki m'a appelé pour me dire que l'amour de ma vie c'était fait kidnapper, sa ma faite ouvrir les yeux sur beaucoup de chose.

C'est pourquoi à ce moment précis je me retrouve à l'aéroport pour pouvoir prendre l'avion et rejoindre Izuku ainsi que mon enfant. Je veux être là après tout ce que Izuku a vécu.

Le vol va durer des heures, je suis tellement stressée que je crois que mon alter est un petit peut activer a même temps. Évidemment personne est au courant que je pars pour le japon sauf mon boss et mon école.

Durant tout le vol je n'ai pas arrêté de stressée et d'avoir peur que Izu me rejeté lorsqu'il va me voir après tout ça fait un peu plus de trois ans environ.

Lorsque j'ai enfin atterri j'appelle un taxi pour qu'il me conduise à l'adresse de Izu, qui est en ce moment l'hôpital.

Après avoir demandé au chauffeure de m'emmener à l'hôpital il me demande pourquoi j'y allais, même si je ne le connaît pas je lui ai quand même répondu.

Moi-Je vais voir l'amour de ma vie qui vient juste d'être retrouvé après un peu plus de trois semaines de disparition.

Il hoche la tête et on continue de parler le long du court trajet, je pense qu'il fait plus ça pour avoir un 5 étoiles, mais moi sa ma vraiment aider de parler de sa a un inconnu, car je me suis dit «au moins s'il me critique je m'en fou car je ne le connaît même pas alors pourquoi son opinion m'importerai telle plus que ceux de ma famille.

Lorsque je suis arrivé à l'hôpital j'ai directement demandé où étais la chambre de Izuku Midoriya. Elle est au troisième étage dans la chambre 369.

Knock knock (je sais c'est tellement extraordinaire😅)

???-Entrer.

Lorsque j'entre je vois directement Izuku avec un garçon dans les bras. Je me demande si c'est mon enfant.

Moi-Izuku.....

Lorsque je prononce son nom, il se retourne directement, je crois même que son coup à craquer. J'ai peur que va-t-il me dire, va-t-il me frapper, m'insulter, je ne sais pas mais je crois que jamais j'ai eu aussi peur de toute ma vie.

Izu-Eijiro... Je l'ai à peine entendue le murmurer.

Personne ne bouge on entend seulement le/la petit/e gazouiller, ça n'a jamais été aussi gênant entre nous deux depuis que nous, nous connaissons.
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477 mots

Retour à l'enfanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant