« Tw : violence »
Tous les regards étaient à présent posés sur moi.
Il y avait presque dix hommes, mon père et ses hommes et mon futur mari et ses hommes, je descendais les marches doucement pour que tout le monde puisse me voir.Arriver en bas, je sens le regard noir de mon père poser sur moi.
- Irina tu m'expliques ?
Je fixe mon père puis une idée me traversa l'esprit.
- Et bien quoi? Je t'avais dit que j'essaierais d'être comme une vraie italienne.
Soudain Enzo prit la parole
- Tu sais mon enfant, je sais que les italienne ont la réputation d'être.. hum des
- Pute ? Dis-je
Tout le monde me fixait comme si j'avais dit quelque chose d'horrible.
- Tout ça pour dire que tout le monde n'est pas comme ça mon enfant.
- Pardonner mon insouciance alors, en fait je voulais vraiment rappeler des souvenirs à mon futur mari étant donné que les chats ne font pas des chiens.
Oui je venais clairement de dire qu'il était issu d'une pute.
Le principal concerné me regarda, je n'arrivais pas à le sonder.
C'était vraiment énervant.
Mon regard se posa au même moment sur mon futur mari, il était grand, assez musclé, il était blond aux yeux verts, pas trop mon style.
Il ressemble comme deux gouttes d'eau à l'ordure qui a assassiné ma mère, pas de doute ils sont de la même famille.
- Irina je te prie de changer de comportement immédiatement.
- Sinon quoi ? Vous allez me tuer ? Ah non vous avez besoin de moi pour les affaires. Dis-je avec mon aire le plus faux.
****
Nous étions tous dans le salon des invités, mon père discutait affaires avec Enzo, tandis que moi j'étais affalé sur le canapé, on a connu plus élégant mais heureusement je ne cherche pas à l'être.
J'ai appris que celui qui voulait m'épouser s'appelait Giovani.
Il est sur son téléphone depuis le début.
Je crois que cette situation l'agace autant que moi.
J'ai aussi appris qu'ils allaient rester là 15 jours et que suite à ça nous allions partir en Italie.
Je me lève sans prendre la peine de dire ou je vais et je pars.
Avant que je puisse passer la porte on m'interpella
- Eh bien tu ne comptes pas me faire visiter ta maison chérie ?
Je me tournais vers la provenance de cette voix, là même exactement la même, je ne pue m'empêcher de le regarder avec dégoût.
Les deux hommes à cotés avaient cessé tout dialogues.
- A tu un handicap particulier? Dis-je en direction de mon interlocuteur.
- Non, bien heureusement.
Un sourire se forma sur mes lèvres.
- Très bien alors débrouilles-toi
Sur ces mots je partis, je n'attendu même pas qu'il réponde.
Sa présence m'agaçait
Son physique m'agaçait
