Ivan.
Je n'y crois juste pas, mes yeux devenaient flous.
Les larmes dévalaient mes joues.
Je ne comprends rien, Ivan comment pouvait-il connaître Sergio, comment je n'y crois.
Donc tout ça n'était qu'un putain de jeu.
Depuis le début.
Je prenais une autre photo dans mes mains, c'était un cadre, Sergio et Ivan se faisaient une accolade, tous les deux le sourire aux lèvres.
Je regardais la chambre, elle était belle, j'essuyais mes yeux.
Je me sentais trahi, Ivan je m'étais confier à lui, chose que je ne fais jamais, il m'avait réconforté.
Depuis ce soir-là, je me sens coupable de ce qui lui est arrivé, mais la vérité c'est qu'il n'était pas tombé sur ma route par hasard.
Enfin je ne sais pas je ne sais rien.
J'ai besoin de réponse, et on ne m'en apporte pas.
Je repensais à cette nuit-là, à son corps étendu, au sol avec le sang autour de lui.
Je commençais à sangloter toujours cette photo en main.
Je la reposais soigneusement.
- Tu ne devrais pas être là.
Je me tournais et Sergio était là, il était à présent torse nu. Il avait un verre à la main un liquide presque orange était à l'intérieur je suppose du whisky.
Il avait aussi une cigarette à la bouche, il me fixait, je n'osais rien dire.
Il posa son verre et referma la porte derrière lui, il alluma une lampe de chevet et s'approcha de moi.
Je reculais puis il attrapa la photo que je tenais un peu plus tôt.
- Je ne sais pas sous quel nom tu le connais il inspira puis expira lui c'est Adrian, mon meilleur pote, enfin c'était. On aurait dit que sa voix s'était briser
- Il avait pour mission de repérer l'es possibles lieux où ton père pouvait cacher la drogue.
- Mais il aimait beaucoup les boîtes de nuit, et c'est là-bas qu'il t'a rencontré, au début il ne savait pas qui tu étais, mais après il a compris et là il m'en a parler.
- Je lui ai donc demandé de creuser, et là tu t'es livré.
Je bouillonnais de l'intérieur, Ivan m'avait utilisé depuis le début. Je m'étais livrer sur ce que mon père me faisait subir, mais aussi sur une part de mon passer, je me sentais sale, je me sentais conne d'avoir fait confiance à un inconnu
J'aurais dû faire plus attention.
- Mais il semblait réfléchir il n'a jamais voulu me dire ce que tu lui as dit, il m'a juste assuré que tu ne savais rien.
Mes yeux se posèrent sur Sergio, je ne comprenais pas, il n'avait rien dit ? Mais pourtant Sergio est en quelque sorte son chef non?
Une vague de culpabilité me parcourait, il n'avait rien dit..
Je me mis à pleurer.
- Et j'ai appris par la suite qu'il avait été tuer par ton enfoirer père.
- Non
- Non quoi
- Mon père n'est pas le seul responsable. Oui c'est mon père qui l'a tué, mais c'est par ce qu'il nous a surpris alors qu'on s'apprêtait à.. je n'arrivais pas à finir ma phrase et je fondais en larmes, me retenant au meuble à côté pour ne pas tomber. Je l'ai supplié de ne pas le tuer, je lui ai même dit que j'acceptais le mariage s'il ne le tuait pas.
