Commité d'accueil.

84 8 0
                                    

ATTENTION, ULTRA SUPRA MÉGA IMPORTANT
Salut☼
Au dernier chapitre, j'ai fait quelques erreurs : Montréal et trois semaine au Québec. Je m'explique : pour Montréal, logiquement, c'est impossible que toute une ville joue le jeu de faire genre "Astrid est une fille comme tout le monde" donc j'ai changer la ville par Botornie, nom que j'ai inventé. Comme ça, ça fait une sorte de Le Monde bis. Je sais pas si vous pigez. Sinon, j'ai marqué il y a quelques chapitre que le voyage serait d'une semaine. Hors comme une bolosse, j'ai dis dans le chap précédent qu'il serait de trois semaine. Erreur. Donc j'ai corrigé, vous pouvez aller vérifier, et c'est bien UNE semaine.
Merci d'avoir lu ce petit truc, bonne lecture :')
_____________

Prénom: Emah
NOM: Triston
SITUATION FAMILIALE : Parents mariés + six enfants.

Astrid écarquilla les yeux. Six enfants ?

ACTIVITÉS: Gymnastique + Guitare.
Etc ...

Bon, bon. Dans Une semaine, Elle décollait !

[ - Nous sommes tous d'accord pour dire que la famille Triston, et Émah en particulier, est extrêmement chanceuse et parfaite, elle correspond à tous les critères. En effet, sur plus de un million de proposition, notre dévolue s'est jeté sur elle. Il faut donc que cette semaine soit parfaite. La ville de Botornie est, comme d'habitude, constituée d'acteurs et de figurants et dispose de plusieurs centaines de caméras.

Madame Lebarnas présidait comme toujours une réunion d'information sur les événement à venir dans Le Monde. Tout était prêt et Botornie n'attendait plus que la star malgré elle]

Après avoir regardé toutes les informations que donnait le dossier de sa famille d'accueil, Astrid appela ses amis pour leur demander leur destination :
Judith partait en Russie dans une famille constituée une mère et de sa fille. Thomas au Brésil dans une famille de trois enfants (deux garçons, une fille) et Bastian au Japon dans une famille d'un enfant seulement.

La semaine passa à une vitesse effrayante si bien que ça avait été la course tous les jours pour préparer toutes les affaires nécessaires pour un voyage de la sorte. Astrid n'avait même pas eu le temps d'appeler Théo pour lui dire qu'elle partait au Québec. En fait, elle était mal à l'aise avec leur relation. Et elle doutait quand même : peut-être qu'elle l'aimait ? Peut-être pas ?

Une semaine plus tard, en un Lundi nuageux d'Avril, Astrid, ou plutôt "la surexcité Astrid", débarqua mi-sautant, mi-courant dans la cuisine à sept heure tapante du matin, avala rapidement un biscuit qu'elle avait déniché dans le placard, abandonnés de ses autres compagnons, se prépara un café, en bu une gorgée avant de recracher le contenu de sa bouche dans l'évier en grimaçant : elle venait de se rappeler qu'elle n'aimait pas le café.
Elle hasarda encore une fois ses lèvres sur la tasse et les retrempa dans le café brûlant. Après deux nouvelles gorgées grimaçantes, Astrid décida que «le café, c'était pas pour elle». Elle prit un verre de jus d'orange et puis basta !

Elle remonta dans sa chambre, sauta dans la douche et y ressorti aussi sec pour s'habiller d'un pantalon lied de vin et d'une chemise à motifs. Elle fixa ses cheveux dans une sorte de tresse française maladroite et finalement, dévala l'escalier jusqu'à l'entrée pour rejoindre sa valise qui était bouclée et dans le vestibule depuis au moins trois jours. Sa mère descendit rapidement et elles partirent toutes les deux en taxi à l'aéroport où elles rejoindraient les élèves qui allaient aussi au Canada.

Elles arrivèrent plus qu'à l'heure et Astrid embrassa une dernière fois sa mère avant d'aller rejoindre les professeurs pour se faire pointer.

L'attente dans le hall de l'aéroport fut longue et pénible mais finalement, après l'enregistrement des bagage et une bonne heure à se croiser les pouces, essayant de faire la discutions avec les camarades autours d'eux, les élèves et les deux encadrants furent invités à aller se présenter à la porte numéro trente-neuf. Quelques instants plus tard, Astrid déambulait, le cœur battant, dans le couloir de l'avion et chercha sa place avec une impatience débordante. Elle n'avait jamais voyagé. Juste quelques endroits quand elle était petite mais jamais hors de la France. Cette bonne vieille France. Elle n'allait pas lui manquer tant que ça : depuis le temps qu'elle rêvait de voir un peu le monde ! Et puis, ce n'était qu'une semaine.

- VISUEL -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant