Chapitre 14 : The treason

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Bonsoir tout le monde voici un nouveau chapitre à 2H du matin ah ah ah  bonne lecture ! je vais me coucher moi ^^

***

8 octobre 1888. 8 h 30, appartement de Little Jack.

Le Brun se trouvait endormi sur une chaise de sa salle à manger. Dans sa main droite, une bouteille de whisky à moitié vide, le jeune homme avait sombré dans des songes agités.

– C'est pourtant clair, Caroline.

– Écouter, je n'ai plus les moyens de vous payer !

– Alors là, c'est très embêtant, car tout le monde a payé sauf toi et il va falloir trouver un autre moyen de nous payer !

– Qu'est-ce que vous voulez dire...

— Hum, laisse-moi réfléchir, et si on te met dans un bordel ?

– Je refuse ! Je ne suis pas une putain !

— Ou, tu laisse Richard s'occuper de toi ?

- Je...

– Mère ?

Tous les regards se portèrent sur un petit garçon âgé de cinq ans aux cheveux bruns.

– Interessant ça. C'est ton fils ?

– Jack, va dans ta chambre immédiatement !

- Non, non, il va rester sagement ici avec nous, peut-être que c'est lui que l'on va vendre ?

– Non, j'accepte votre proposition ! Dit-elle à contrecœur.

– Tu as entendu la dame Richard, occupe-toi en !

– Ouais. Répondit l'homme en se déshabillant.

– Maman !

– JAAACK ! !

La scène s'arrêta là et c'est la descente aux enfers qui débuta pour le petit garçon qui fut enfermé à l'asile de Lambeth. Les tortures incessantes, les essais de certaines de plusieurs drogues et les infirmières peuvent disposer à véritablement aider.

– Alors, voyons qui aura l'honneur d'essayer notre nouveau sirop aujourd'hui ? Dit une infirmière avec un carnet avec plusieurs non inscrits.

– On pourrait le faire ingérer à monsieur Cooper ! Il parait qu'il serait à l'agonie ?

– Oh mais non ! Monsieur Le directeur nous a dit d'utiliser le jeune cobaye pour ce genre de traitement.

– C'est vrai, allons le chercher !

Les trois infirmières se rendirent à la cellule du jeune garçon qui était adossé contre le regard complètement hagard. La chef de service est entrée pour saisir l'enfant. Mais une bombe fumigène roula jusqu'au pied des trois femmes en créant une épaisse fumée. Le jeune brun repris légèrement ses esprits et fut intrigué de ce qu'il se passait. Plusieurs coups de feux retentis alors créèrent la panique dans le bâtiment. En plus de tout, des gens habillés en vert défilèrent sous ses yeux. Un jeune garçon à peu près du même âge que lui entra dans la pièce et appela quelqu'un.

– Master Frye ! Il y un enfant ici !

– D'accord, Arthur continue les recherches ! Je vais m'occuper de lui !

Le jeune garçon répondant au nom d'Arthur acquiesça tout en remettant sa capuche et s'en alla. Un homme entra dans la pièce, coiffé d'un chapeau haut-forme. D'un regard fier et assuré, il prit la parole.

– Salut petit ! Tu n'as rien à craindre de moi !

— Q-Qui est tu ?

— Je m'appelle Jacob Frye, et toi, comment t'appelle-tu, petit ?

1888 The ProsecutionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant