Chapitre 24 : Explosion au manoir Owers ! Partie 3

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Bonsoir tout le monde voici un nouveau est loooooong chapitre ^^ ! Sur ce bonne lecture !

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Aile droite du manoir Owers.

Evie venait d'éliminer discrètement le fossoyeur qui finissait d'enterrer une pauvre servante du manoir.

- Bien tout à l'air de se passer comme prévu. À l'heure qu'il est, Ciel doit sûrement se trouver à l'intérieur. Pensa t'elle en crachant un Molard sur le cadavre de l'homme au sol.

La maître assassin remarqua une porte qui donnait possiblement vers les cuisines.

- Bon sang, c'est fermé ! Fulmina t'elle en essayant à nouveau de tourner la poignée.

Sans aucun résultat, elle se résigna à utiliser cette entrée n'ayant également, aucuns autres moyens de crocheter la serrure discrètement.

- Eh bien, si je ne peux pas passer par la porte. Je vais essayer une autre approche. Se dit t'elle en prenant de la distance pour observer la façade de la bâtisse.

Evie décida d'utiliser à nouveau sa vision d'aigle afin de trouver une nouvelle issue. Sa recherche fut satisfaite quand elle fis qu'une fenêtre du premier étage dont les volets n'étaient pas fermés.

- Bingo ! Dit t'elle en affichant un sourire en coin.

La maître assassin prit son élan et commença à escalader la façade afin d'atteindre la fameuse fenêtre. Une fois, arrivé face à elle. Miss Frye se mit aussitôt sur le côté afin de ne pas être repérée par les personnes à l'intérieur de la pièce. Elle observa discrètement et avec attention, un homme se trouver au milieu de la pièce tenant en ses mains, un livre de poème qu'il lise à deux jeune femmes en tenue légère pour la saison.

- Tiens, Tiens, à l'allure ce doit être Monsieur Owers. L'homme que Nelly m'avait parlé, il appâte les femmes avec de simple vers.

Monsieur Owers se trouve être un homme au physique très mince, possédant une grosse moustache en formes de guidon de vélo et des longs cheveux brun rabattus en arrière.

- Que vos lèvres de miel goûtent à mon vin, mais également qu'il en sorte un léger filet en coin, jusqu'à la naissance de vos seins.

- Ih ih, Monsieur Owers tout cela est-si obscène. Ah aha !

- Tu as trop bu ma chère Anastasia, hi hi !

- Maintenant, je vais vous lire un poème venu tout droit de l'orient.

Evie s'accrocha à l'un des volets pour maintenir en équilibre afin de donner un grand coup dans la fente à l'aide de ses deux pieds. Ainsi s'infiltré à l'intérieur.

- AAAAAAAH !

- Que personne ne bouge !

La maître assassin avait levé la voix tout en sortant un Derringer de sa poche droite pour menacer les deux femmes se trouvant assises sur le canapé. Tout à coup, en même temps quelqu'un frappa à la porte.

- Monsieur Owers, j'ai entendu crier, avez- vous un souci ? S'interrogea un garde de l'autre côté de la porte.

-Si vous les alertés, je vous tue sur le champ. Murmura la maître assassin envers l'homme.

- C-ce n'est rien, juste l'une de mes bonnes amies qui à eu un sursaut, lors de mon dernier poème.

- Entendue.

Evie s'avança prudemment en direction du bureau appartenant au propriétaire du Manoir. Elle saisit plusieurs châles, sûrement une collection de cet homme.

1888 The ProsecutionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant