Chapitre 5 : devil's nightmare.

135 9 79
                                    

Bonjours Ladys and Gentlemen voici le 5 éme chapitre de cette fanfiction j'espère que cela vous plaira maintenant place a la lectures ah je remercie Mikaslay_ pour la correction du chapitre  ^^.


Le 5 Octobre de l'an de grâce 1888, le soleil s'éleva doucement et éclaira la ville de Londres qui commençait ses activités quotidiennes. Les gens allaient à leurs travail. L'appartement où résidait Jacob Frye se trouvait dans un calme plat. Ce fut le maître assassin le premier réveillé par les rayons du soleil et par le coq d'un voisin qui chantait tellement faux qu'il ne put s'empêcher de se lever et de lui lancer une de ses bottes usées pour le faire taire. Il se dit que si ça continuait ainsi, il irait étrangler ce coq de malheur lui-même. Il se dirigea vers une bassine, posé sur sa commode, et la remplit d'eau fraîche. Avec ses deux mains, il se frotta le visage. Une fois cela fait, il prit une serviette pour se sécher et alla à son armoire où étaient rangés ses vêtements. Il choisit calmement une chemise blanche, un foulard noir, un gilet de même couleur et un pantalon marron foncé, ainsi que ses longues bottes noires lui arrivant aux genoux. Enfin, quasiment prêt, il ne lui manquait plus qu'à mettre son gantelet où sa lame secrète était cachée. Il vérifia que le mécanisme marchait toujours et regarda l'horloge de sa chambre qui lui indiquait huit heures vingt du matin. De bonne humeur, le maître assassin alla réveiller le jeune Astre qui dormait comme une souche dans la chambre d'à côté, bien enveloppé sous les couvertures.

- Allez debout Astre ! Il est 8h20 du matin. S'exclama-t-il en secouant légèrement le bleuté.

- Hmm... Monsieur Jacob... pas maintenant... Répondit l'enfant, encore ensommeillé.

- Toi tu n'es pas du matin, hein ? Allez debout. Je vais préparer ton petit déjeuner. Pendant ce temps va t'habiller. Soupira l'adulte en tirant sur les couvertures.

- Très bien, je me lève...

Le bleuté se redressa dans son lit et s'étira, en frottant son œil valide. Il se dirigea vers le meuble où Jacob lui avait laissé des vêtements propres de la veille. Il enleva sa chemise de nuit et prit une chemise noire, un gilet marron, et un pantalon sombre. Pour finir, il mit sa casquette ainsi que ces vieux souliers usagés. Il n'avait que ça ou c'était marcher pieds nus. Une fois prêt, il rejoignit le maître assassin à la cuisine. Jacob lui avait préparé deux tranches de bacon et des œufs brouillés.

- Bien. Je doit aller à mon travail. Tu diras à Little Jack, qui ne devrait pas tarder à arriver, qu'il s'occupe de toi en mon absence. Expliqua l'assassin en mettant son chapeau haut de forme sur la tête.

- D'accord Monsieur Jacob. Acquiesça Astre en commençant à manger.

- Et j'y pense ! Quand je rentrerai, nous irons t'acheter une paire de souliers vu l'état des tiennes. Je n'ai malheureusement aucune paire à ta taille. 

- V-vous n'êtes pas obligé, Monsieur Jacob... Vous en faites beaucoup trop... Répondit le bleuté, gêné de tout cette attention.

- Allons... Je vais quand même pas te laisser marcher pieds nus. Et je fais ce qu'il me plaît de mon argent, d'accord ? Franchement, entre toi et Nellie, vous faites la paire. Donc ne cherche pas d'excuses. Dit-il d'un ton sérieux.

- D-d'accord si vous insistez... Mais vous savez, je peux essayer de les réparer.

- Allez finis de manger au lieu de dire de telles sottises. Je dois y aller. Tu peux lire en attendant qu'il arrive, si tu veux. Je dois avoir quelques bouquins dans ma bibliothèque. Dit-il en montrant du doigt le meuble.

- M-merci, Monsieur Jacob. 

Le maître assassin acquiesça et referma la porte derrière lui. Puis il descendit vivement les escaliers sans heureusement croiser le propriétaire de l'appartement qui habitait au rez-de-chaussée et qui, certainement, lui aurait encore réclamé son loyer un mois à l'avance.

1888 The ProsecutionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant