10. Sunshine.

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Bonne lecture 🥥

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Vous dormez sûrement 🫠 mais je viens juste de le terminer alors cadeau pour les insomniaques 🤗💕

(Et sorry en avance pour les fautes d'orthographes, je vais devenir aveugle à force de relire 😶‍🌫️)






































« Comme un soleil au milieu d'une tempête... » m.



















Moscou.

Le bruits des anneaux en métal qui s'entrechoquent, le son des semelles claquantes contre le sol. Et tout le boucan autour de moi, me font serrer les dents d'agacement.

La main d'Armato fermement serré sur mon coude, il me guide dans les couloirs de la prison.

Mes mains sont menottés, parce qu'on a quitté le bâtiment des cellules, nous sommes du côté des pièces de visites.

Et comme chaque mois, je sais qui est venue me voire.

Une fois arrivés devant la pièce qui est normalement réservée aux visites des avocats, Armato attrape son trousseau de clefs pour me libérer les mains.

– Elle t'attends à l'intérieur, dit-il en baissant la poignet de la porte.

Je l'ignore et d'un pas décidé, je pousse la porte, entre dans la pièce éclairé, puis referme la porte derrière moi.

– Mon chérie!

Immédiatement, mon regard retrouve celui de ma mère. Un grand sourire sur les lèvres, elle bondit de sa chaise pour me sauter dessus.

Et comme à chaque fois, ça lui prends de longues minutes pour bien me serrer dans ses bras.

Automatiquement ma tête reste coincée au niveau de son cou. Elle a toujours cette même odeur florale réconfortante.

Je reste plusieurs instants les yeux fermés plongé dans ce parfum qui me rends presque nostalgique.

Le genre d'odeur qui renferme toute une époque de souvenirs.

– Tu as maigri mon fils! Prononce ma mère une fois l'étreinte terminée.

Je hoche négativement la tête avant de la contourner pour m'assoir sur l'une des chaises face à la table.

– Si si, je vois bien que c'est le cas.

Elle l'a dit sur son ton de maman qui s'inquiète pour son enfant. C'est vrai qu'elle peut être protectrice... parfois.

– Tu manges bien? Demande-t-elle en s'asseyant face à moi.

Son regard me scrute le visage, ses sourcils sont toujours froncés. Elizabeth Carter ne rate aucun détail.

– Je suis juste un peu malade, finissais-je par avouer.

Impossible d'échapper à ces foutues rhumes, entre ces mûres.

14%Où les histoires vivent. Découvrez maintenant