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Je retire ma tête de sous les draps, la seule lampe du bureau illumine celui qui, me manquer tant.

Des larmes coulent directement sur mon visage, tout mon stresse redescend, il est là.

Je m'empresse de me lever et de pouvoir le prendre dans mes bras, je me colle à lui, il fait de même.

Je ne peux m'empêcher de lui dire.

- Tu mas tellement manqué.

- Je sais.

Plus rien ne se passe pendant quelques secondes avant qu'il ne finisse sa phrase.

- Je ne peux pas te cacher que tu m'as manqué toi aussi.

Je le sers encore un peu plus fort contre moi avant de le lâcher pour aller allumer la lumière.

Quand je peux enfin le voir avec une lumière plus forte que celle du bureau, je constate qu'il a de multiples blessures au visage. Mon regard inquiet croise le sien, il le détourne. Je suppose qu'il ne va pas vouloir m'en parler, je ne dit donc rien par rapport à ça, en revanche, je le questionne sur son absence.

- Pourquoi toute une semaine ?

Il est froid.

- Parce que mon comportement n'a pas plu à certaines personnes.

J'insiste.

- Qu'est-ce que tu as bien pour faire ? Et ça n'a pas plu à qui pour que tu partes aussi longtemps ?

Il se dirige vers la fenêtre avec une haine dans les yeux, cette fois-ci, je le rattrape.

- Ok ok, j'arrête mes questions, je te le promets, mais je t'en supplie, ne pars pas !

Il me regarde attentivement, je continue.

- Reste avec moi cette nuit, s'il te plaît.

Il recule, baisse les yeux et répond simplement « ok ». Je souris tout de même, je retourne vers mon lit, il reste dans un coin de la chambre.

- Tu viens ?

Il relève les yeux vers moi.

- Aucune question, on est bien d'accord ?

Je hoche la tête pour approuver, en sois, c'est moi qui l'ai dit. Je me retourne pour arranger mon lit, il se déshabille en même-temps, une fois mon lit terminer, je me retourne, il ma dit pas de question mais je n'ai pas réussi à cacher mon choc, il est blesser sur l'entièreté de son corps, il est en caleçon devant moi, son torse et taillader de multiple lacérations, je pensais qu'il cétait battu en voyant son visage, maintenant, je pense qu'il c'est fait battre, il n'y a aucune autre solution, ne pas pouvoir lui poser de question me ronge de l'intérieur. Que lui est-il arrivé ?

Il me rejoint sur le lit.

- Je sais que tu as plein de questions, je le vois dans ton regard, mais je te demande de faire comme si tout était normal, s'il te plaît.

Il a un regard assez nerveux, je lui souris en acquiescent à contre-cœur, il me rend mon sourire et baisse les yeux sur ses vêtements que je porte.

- Ce n'est pas juste, je suis à moitié nu, et tu es complètement habillé ! Avec mes fringues en plus.

Il me couche sur le lit en m'embrassant, cette sensation était un réel manque dans ma vie, ses lèvres sur les miennes, la chaleur qu'il dégage ce transmet par le simple contact de ses lèvres sur les miennes.

Il passe une main sous mon pull, je la retiens, il détache ses lèvres des miennes.

- Je n'irai pas plus loin si tu ne le veux pas !

Je secoue la tête, il enlève sa main et recolle ses lèvres aux miennes, je traîne mes mains dans ses cheveux, je pourrais tuer pour ça.

Il glisse tout de même ses mains sur moi, au dessus des vêtements, bien sûr, je commence même à me dire que si il les avaient laisser en dessous, ça serait encore mieux, mais j'ai peur, de se qu'il pourrait dire ou bien penser de mon corps, il en as déjà vu tellement, j'ai pas le corps de rêve non plus, contrairement à toutes celles avec qui il a bien pu coucher.

Je l'autorise à retirer mon pantalon, après tout, j'étais en robe lautre jour !

Il l'enlève avec un grand sourire et continue de m'embrasser, je sens le manque que son absence à provoquer à travers la force avec laquelle il colle nos lèvres.

Il se colle à moi, tout comme l'autre jour, je sens son érection contre moi, sauf que cette fois-ci, ça me procure plus d'effet, je laisse même un léger râle s'échappe, il continue, je le sens sourire contre mes lèvres avant d'appuyer plus fort contre moi. Je souris à mon tour et bouge moi-même contre lui, voulant jouer au plus fort, on s'excite mutuellement, ce qui n'est pas très futé. Sa respiration accélère, la mienne aussi, mais à force de se frotter l'un à l'autre, faisant nos tissus se frictionner, cela commence à me faire mal, je place une de mes mains sur son bassin et le repousse doucement. Il arrête de m'embrasser et se relève.

- Ça ne va pas ?

Je baisse les yeux, je ne veux pas lui mentir, mais je ne suis pas très à laise.

- Je commence à avoir mal avec le frottement pour être honnête...

Il me lève la tête en rigolant.

- Si on était nu, il n'y aurait pas ce problème.

Je rougis instantanément en tournant la tête. Il continue ;

- Je rigole, un peu. Mais j'ai l'impression que tu as plus de mal que l'autre jour.

- J'avais bu.

- On peut arranger ça !

On rit tous les deux et je lui avoue que je ne suis pas prête à se genre de choses.

- Ne tant ne fais pas, je ne vais pas te forcer !

Je lui souris, il m'embrasse et on se couche l'un à côté de l'autre. Au bout de quelques minutes, il se place au-dessus de moi, puis il pose sa tête sur ma poitrine en s'allongeant sur moi.

Il ricane.

- Je les aime bien ses deux-là, très confort !

Je ris aussi et il s'endort contre moi. Je lui caresse les cheveux, je pourrais en faire un passe-temps !

Mine demon is not a little red menOù les histoires vivent. Découvrez maintenant