Elle est visiblement bien amochée, elle explose de rire devant moi, puis s'écroule de rire sur le sol.
Je mets de côté le fait ait que je viens de me toucher en pensant à elle, pour m'approcher d'elle, la porter et l'asseoir sur mon lit. Elle a stoppé son fou rire pour me regarder et je peux constater qu'elle y est allée fort, elle a des larmes séchées sur les joues, mais avant que je puisse lui demander pourquoi, elle se roule sur le lit en riant, je la regarder les bras croiser comme si je regardais un enfant qui jouait, jusqu'au moment où sa tête heurte le coin de la table de chevet, elle se met immédiatement à pleurer.
Je m'approche d'elle et prends son visage entre mes mains, elle saigne au niveau du côté gauche de son front, je la prends par la main et l'emmène avec moi dans la salle de bain, qui par chance est accessible de ma chambre.
Je passe du désinfectant sur ça plais, elle laisse passer un râle de douleur, je lui colle un pansement et lui indique qu'il y a du démaquillant dans le meuble.
- Pourquoi faire ?
- Te démaquiller !?
- Non.
- Le peu que tu as mis à couler !
Elle s'observe dans la glace et se baisse pour ouvrir le meuble sous lévier, mon regard se dirige directement sur la partie de sa robe qui remonte, je ne vous cache pas que cest le bas de la robe qui est bien remonté
Je détourne le regard, mais l'image persiste dans mon esprit.
Heureusement, elle me sort de mes pensées.
- Dis-moi ?
- Oui ?
- Cest forcément toi que j'ai entendu gémir tout à l'heure ?
Heureusement, quelle ma sorti de mes pensées...
Je méclaircis la voix. Putain.
- Je ne vois pas de quoi tu parles.
Elle se baisse à nouveau pour cette fois-ci ranger ce quelle a utilisé, mon regard se fixe à nouveau sur ce qui actuellement et à découvert, je me rappelle à quel point son jean m'emmerder hier, quand jamais mes mains sous ses cuisses, alors que là, elles sont si accessibles, mais elle ne me laissera jamais faire.
Je me rappelle qu'elle avait des larmes tout à l'heure et tente de changer de sujet, à deux doigts de prier.
- Tu pleurais en arrivant dans ma chambre ?
- Oui.
On retourne s'asseoir sur mon lit, enfin, je m'assois, elle s'allonge, je lutte contre moi-même pour ne pas caresser ses cuisses, qui sont pourtant à quelques pauvres centimètres de ma main.
- Pourquoi ?
- Je pensais que tu étais peut-être entrain de coucher avec une autre.
Je n'en reviens pas, elle vient clairement de m'avouer que je lui plais, non ? Tu t'affoles pour rien !
- T'aurais fait quoi si c'était le cas ?
- Je l'aurais tué !
Je ris, mais elle reprend.
- Je ne rigole pas, elle serait morte.
Je me retourne pour la regarder et constate qu'elle a l'air déterminé à mettre fin au jour de la personne que je me serais tapé, je sais plus trop quoi répondre, légèrement sous le choc, et plutôt fier.
Je t'avais dit de te renseigner sur elle ! Oui, bon, ce nest pas une tueuse en série !
Je décide de jouer un peu avec ses sentiments.
Tu vas te nuire tout seul mon cher. Je gère frero.
Elle est toujours allongée à côté de moi, je me relève pour être debout face à elle, je place mes jambes de chaque côté de son corps si parfait, je prends appui sur mes mains de chaque côté de son visage, elle m'affiche un sourire satisfait.
- Pourquoi tu as gémis tout à l'heure ?
Je perds mes moyens face à sa question, sans lui montrer.
- Qui as dit que c'était moi ?
- C'était toi !
Je suis totalement désorienté et elle en profite, elle croise ses jambes à ma taille pour me coller à elle, la chaleur me prend dun coup, je baisse la tête et constate effectivement que je suis entre ses cuisses, contre elle. Ok, je naime pas l'admettre, mais il avait raison, je me nuis tout seul. Elle place sa main sur ma taille et sans prévenir et surtout, sans que je mis attende, elle me pousse pour que nos rôles s'échangent, désormais, je suis sur le dos et elle est assise sur moi, où plus précisément, dessus.
Elle balance ses cheveux sur le côté et se place de la même manière que moi au-dessus d'elle, il a quelques secondes, elle a littéralement volé mon rôle.
- Maintenant réponds moi !
Je tente de rester calme et sérieux.
- Je ne sais pas de quoi tu parles.
- Sûre de toi ?
Gagner !
- Oui.
Elle ressert ses cuisses sur moi en bougeant lentement contre mon sexe, son corps au-dessus du mien, c'était déjà beaucoup, mais là, c'est trop pour moi, et jamais j'aurais cru que cétait possible. Je mords ma lèvre inférieure en posant mes mains sur sa taille, même si je rêverai de descendre bien plus bas.
Perdu...
- Sûre de toi alors ?
Je ne tente une deuxième fois, « une fois pas deux », c'est elle qui la dit !
- Tu tinventes une vie.
Je la regarde dans les yeux, son regard n'annonce rien de bon pour moi !
Elle prend mes mains dans les siennes, les places au dessus de ma tête et garde l'emprise dessus qu'avec une seule de ses main, son autre main passe son mon tee-shirt pour atteindre le haut de mon torse, si vous saviez comme j'ai chaud, j'hésite déjà à morde ma lèvre inférieur mais elle ne me vaincras pas à sa, son regard devient sombre d'un coup, elle glisse sa mains sur mon torse avec cette foutu manie de regarder ce qu'elle fais, le bout de ses doigts arrive en haut de mon jeans, elle se relève en prenant appuie sur sa main qui retient les miennes, je m'attend à se qu'elle m'embrasse, mais au lien de sa, elle glisse sa main sous la ceinture de mon jean, elle reste tout de même entre mon boxer et le jeans, je me crois sorti d'affaire jusqu'à qu'elle passe sa main sur mon sexe qui est maintenant en érection, je n'y arrive plus et pour le deuxième fois, en trop peu de temps à mon goût, je gémis.
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Mine demon is not a little red men
RomantizmElle a une vision terne du monde, les jours se ressemblent, seule, dans sa bulle, rien ni personne ne l'intéresse. Quand sera-t-il de son quotidien quand elle croisera ce garçon, ou plutôt cet ange rejeté, déchu. Elle n'y verra qu'un garçon étrange...