Chapitre 10🤍

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..: vous allez où comme ça les putes ?

Attendez quoi ?

J'espère vraiment que c'est pas à nous qu'il s'adresse. On n'a pas calculé et on les contournais lorsque celui qui avait parlé m'attrape par le bras.

Mais il est fou lui ?

Moi: lâche mon bras !

..: C'est à vous que je parle non ? Pourquoi vous faites comme si vous aviez pas entendu ?

Moi: je t'ai dit de lâcher mon bras. Ça ne vas pas ou quoi ?

Daba: Tu as bien dis "les putes" et je ne crois pas que c'est écrit sur nos fronts.

..: Bien sûr que vous êtes des putes ça se voit sur vos gueules.

Mais il est vraiment culotté lui. En plus il sert fort mon bras comme si je lui ai fait quelque chose alors que c'est la première fois que je le vois.

Moi: Je pense que tu nous as confondus avec ta mère.

Son sourire malicieux a direct disparu. Si c'est pour insulter les gens là c'est drôle mais quand ça insulte vos mères vous vous énerver.

..: espèce de salope c'est à moi que tu parle comme ça ?

Moi: Bien sûr que je parle de toi tu vois un autre PD ici. Et lâche ma main.

Binta: tu comprends pas quoi dans ce qu'elle t'a dit, lâche la.

..: je ne la lâcherai pas, c'est moi qu'elle traite de PD et insulte ma mère de pute ?

Si c'est pas toi c'est qui ?

Les filles allaient intervenir mais je l'ai défend de le faire. Je peux me débrouiller toute seule.

Moi: oui c'est toi que je traite de PD parce que t'en n'ai un et même le plus gros PD de France. Et c'est pas en faisant le matcho devant moi que ça va changer. Et ta mère tout le monde sait ici que c'est la plus grosse pute de France, elle a fait toutes les caves du pays qu'elle ne sait même pas qui est ton géniteur.

Ses yeux se sont écarquillés de surprise. Il a violemment serré son poing avec sa main qui tenait mon bras me faisant encore plus mal. J'ai même entendu des sons choqués sortir de la bouche de quelques personnes.

J'avais dit au début que lorsqu'on me cherche, on me trouve.

Il était vénère comme never. Je savais que j'allais me faire défoncer mais au moins j'ai pu lui sortir mes quatre vérités et il ne l'oubliera pas d'aussi tôt. Il a levé la main pour me frapper, mais elle a été arrêtée par une main super musclée. Je regarde la main de cette homme et voit que c'est celle de Tayler.

Pour une fois il va servir à quelque chose.

Tayler: Je rêve ou tu as voulu la frapper ?

Non tu rêves pas.

..: oui c'est ce que je comptais faire jusqu'à ce que tu t'interposes petit con, bouge de là.

Il a traité le détraqué de petit con ! Il est mort. Déjà que moi je l'ai simplement traité de clochard il a failli m'étrangler et même là nous n'étions que tous les deux. Mais là y'a des centaines de personnes.

Le regard de Tayler a direct changé. Il était empli de colère. Mais au lieu de peter un câble. Il a sourit mais d'un sourire qui fait froid dans le dos.

Le mariage de Lisa...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant