Elsa - La voisine

5. Le Weekend : Partie 1

Alex venait de se réveiller et était encore couché dans son lit, Déborah n'était plus là. Plusieurs jours se sont écoulés depuis l'invitation d'Elsa. Alex n'a eu aucune nouvelle d'Elsa ou de Martin. Faut dire qu'il essayait d'oublier cette journée tant la honte et...l'excitation le gagnaient à chaque fois que des flashs de souvenirs lui revenaient en mémoire. A chaque fois qu'il y pensait, le corps d'Elsa...ses seins... la sensation de les avoir entre ses mains...Et...il rebandait... il lève un peu les draps pour regarder en dessous et voit sa bite dure, trembler doucement. Alex secoue la tête pour sortir ces images de sa tête, avec peu d'effet, alors il essaie de penser à autre chose.

- Lapins morts...lapins morts...lapins morts... se répète Alex dans sa tête pour essayer de calmer ses ardeurs.

Le fait qu'ils n'aient pas couché ensemble avec sa femme depuis son retour ne l'aidait pas. Faut dire qu'Elsa l'avait bien vidé et le sexe pour sa femme c'était plus une corvée depuis quelques temps, à son grand dam, la libido de Déborah était en chute libre. Il avait tenté plusieurs fois de l'approcher avec tendresse mais sans succès. C'était assez étrange, avec sa femme ils baisaient comme des lapins il n'y a pas si longtemps. Il essaie de se rappeler et de mieux définir ce « pas si longtemps », ça devait être avant la naissance des enfants...

- Putain ! c'était il y a plus de dix ans ! réalise Alex alors que ses yeux s'écarquillent.

Il se rappelle encore, Déborah penchée sur le bord du lit, les mains attachées dans le dos avec une paire de menottes, sa tête posée sur des cousins et lui derrière elle lui frottant sa bite sur sa chatte déjà bien remplie, avant de l'enfoncer à l'intérieur. Ce jour-là il avait tellement rempli Déborah qu'elle débordait à chacun de ses pas et pour aller au restaurant elle avait été obligée de mettre un tampon.

Alex sourit à lui-même, se rappelant l'image de sa femme, qu'elle était belle dans sa robe d'été. Mais sous cette beauté et cette classe se cachait une petite salope remplie au ras-bord, et eux seuls le savaient. Ils étaient jeunes et insouciants, ils s'aimaient. Ils s'aiment toujours, mais le « train, train » de la vie avait eu raison de leur insouciance, puis les enfants sont arrivés et...dix ans sont passées. Alex ignorait s'il avait changé, si elle avait changé, ou si c'est comme ça pour tout le monde. Cela dit si lui avait développé avec le temps un penchant pour les choses interdites, peut-être qu'elle aussi avait découvert ses penchants mais n'osait pas, comme lui, en parler.

Il faudrait qu'ils parlent de tout ça un de ces quatre. En attendant leur soirée de la veille, une fois les enfants couchés, s'était résumé à une nouvelle série sud-coréenne sur Netflix et puis dodo.

- Noooooon ! Maman ! Les cris des enfants dans la cuisine.

Alex regarde l'heure, il était 09h. il se lève enfile un peignoir et descend dans le salon. Déborah était occupée avec les enfants dans la cuisine, leurs valises étaient ouvertes par terre dans le salon presque prêtes. C'est le début des vacances scolaires, et monsieur et madame travaillant tous les deux, ce sont les grands parents qui vont garder les enfants pendant deux semaines.

Les enfants sont entrain de déjeuner alors que Déborah était occupée à finir les valises.

- Bonjour ! Bien dormi ? Il lui demande en l'embrassant.

- Oui ça va, faut que je décolle, mes parents nous attendent pour 10h et on est déjà en retard me dit-elle en refermant la dernière valise et en la mettant debout sur les roulettes.

Elle aligne les deux valises près de la porte d'entrée. Elle semblait déjà prête, ses cheveux bruns lui arrivant jusqu'aux épaules, étaient coiffés. Elle était maquillée, c'était un maquillage très léger. Elle n'avait jamais eu besoin de beaucoup se maquiller, même nature elle avait toujours été belle. Déborah retourne dans la cuisine qui leur servait aussi de salle à manger, prends les couverts des enfants et commence à les mettre dans le lave-vaisselle. Alors qu'elle se baisse Alex revoit ce petit cul devant lui dans cette chambre en Italie, sa femme offerte à lui pour être utilisée. Il secoue encore la tête, il était en peignoir et s'il bandait il allait devoir se balader avec une tante dans sa maison. Déborah se retourne et sort les enfants de la table.